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« Une startup ça ne se vend pas, ça s'achète. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir de recevoir Rémi Thomas, Co-fondateur de In&motion.
« Entreprendre, c'est un marathon qu’on essaie de courir à la vitesse d'un sprint. »
À notre micro, Rémi nous raconte comment sa carrière a commencé jusqu’au grand saut de la création de In&motion : « Les nouvelles technologies embarquées peuvent sauver des vies. »
Rémi évoque l’histoire derrière In&motion et l’anecdote sur la création de la société.
« On est avec un premier proto, on obtient l'agrément de la Fédération Française de Ski - FFS pour équiper des skieurs pros en Coupe du Monde, en ski-cross. Ils nous demandent quelle est l'entreprise qui bénéficie de cet agrément, alors que l'entreprise n'était pas encore constituée à cette époque. »
Rémi partage :
→ ses anecdotes, notamment celle sur le premier client qui a acheté un produit dans un magasin ;
→ ce qui l’a le plus marqué depuis la création de In&motion ;
→ comment il a géré la période Covid ;
→ ce dont il est le plus fier : « L’association à 3. On l'a créée à 3, et nous sommes toujours 3 aujourd'hui. » ;
→ les meilleurs conseils qu’on lui a donnés.
« Éviter le nombrilisme et de sombrer sur soi-même. À un moment donné, regardez ce qui se passe à l'extérieur. Il ne faut surtout pas se renfermer, mais plutôt s'ouvrir. »
Rémi nous donne sa vision et ses perspectives sur l’avenir : « L’outdoor a vraiment un terrain de jeu incroyable. Et qui, à mon avis, dans les dix, vingt, trente prochaines années, va vraiment attirer de nouvelles idées, de nouveaux produits, de nouveaux modes de consommation. »
Conseil bonus : en cas de coup dur, appelez un Américain !
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« Un consensus, ce n'est pas un compromis mou. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons reçu non pas un, mais deux invités : les 2/4 co-fondateurs de Worldia, Gregoire Pasquet et Erwan Corre.
Grégoire et Erwan reviennent sur leurs enfances respectives, les débuts de leurs carrières, leur rencontre jusqu’à la création de @Worldia.
« C'était une idée assez ancienne qui a germé, partant de l'observation qu'il y avait beaucoup à faire pour améliorer tout ce qui était voyage à la carte. Au fur et à mesure, nous avons développé cette idée et avons fini par lancer l'entreprise. »
À notre micro, Grégoire et Erwan racontent :
→ les difficultés qu’ils ont rencontrées : « Ça a été l'expérience la plus difficile. » ;
→ leurs anecdotes entre partenariats et histoires d’ex, de plus de 15 ans, nom de scène, ouverture de bureau au Mexique et reporting ;
→ leurs erreurs : « C’est bien de lancer de nouvelles choses, mais je pense qu'il faut faire attention à certes se diversifier, mais sans s'éparpiller. »
Ils nous dévoilent leur secret pour, 10 ans après, être toujours à 4 co-fondateurs et que ça fonctionne : « Nous avons cette nature tous les quatre d'accepter de chercher un consensus, ce qui aide beaucoup. Et nous avons des rôles très distincts dans la société, ce qui permet une répartition assez équilibrée au quotidien. »
Grégoire et Erwan évoquent la lourde tâche de recruter et surtout de ne pas se tromper.
« Souvent, un recrutement raté commence par une mauvaise définition des besoins de celui qui recrute. Soit il ne sait pas exactement ce qu'il veut, soit il se plante de priorité. Donc un recrutement raté, c’est rarement de la faute du recruté, c’est généralement souvent la responsabilité de la boîte. »
Conseil livre à lire : « Who » de Geoff Smart, c'est LA super méthode pour bien recruter ses collaborateurs.
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Un bon leader sait progressivement se rendre inutile !
C’est le meilleur conseil qu’a reçu notre nouvel invité, l’électron libre de l’outdoor, Benjamin Bénéteau, dans ce 32ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds.
De sa première partie de carrière dans les armées à sa reconversion professionnelle en rejoignant l’entreprise familiale dans l’industrie nautique, en passant par la création d’une entreprise et jusqu’à aujourd’hui avec son job de consultant chez SCYFCO Formation Continue, Benjamin revient sur les étapes de son parcours.
« Ce que j'en ressors, c'est que positivement ça m'a permis de mieux me connaître moi-même. De me découvrir beaucoup plus créatif et ingénieux que je pouvais l'imaginer. Beaucoup moins opératif et rigoureux que je pouvais le présupposer. »
Benjamin nous raconte :
→ ce qui l’a le plus marqué à travers ces différentes vies professionnelles ;
→ ses anecdotes militaires, entrepreneuriales ou en tant que salarié : celle sur l’exercice grand froid avec les Suédois ;
→ sa plus grosse erreur : « C’est d’être resté seul » ;
→ où il puise sa motivation ;
→ sa plus grande fierté : « La seule chose dont je suis fier, c'est d'être resté en phase avec mes valeurs. De ne jamais m'être trahi, de ne jamais m'être menti et d'être resté libre de mes choix. »
Dans cet épisode, Benjamin partage également sa vision de l’entrepreneuriat et du rôle du leader.
« Si je fais pousser les équipes, si mes équipes m'amènent à devoir sortir du jeu parce que c'est elles qui ont pris toute la place et que c'est maintenant leur tour de rayonner, ce n'est pas grave, car moi, je peux partir sur autre chose. Et cet autre chose, ce n'est pas forcément plus de responsabilités, plus de salaire, plus, plus, plus. Non, ça peut être juste plus d'épanouissement, plus d'authenticité. »
Benjamin évoque ses perspectives pour le secteur de l’outdoor : « C'est une filière, c'est un secteur qui sous-estime son pouvoir d’influence. »
Conseil bonus si vous êtes en recherche d’un sparring-partner : « Un sparring-partner, comme son nom l’indique, est là pour te boxer dans le coin du ring, pour te dire tes quatre vérités, pour te mettre le nez là où ça ne sent pas bon et là où tu as des carences. » Donc un sparring-partner, ce n’est pas un pote !
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OK arrêtez tout.
Pour le 100ème épisode d’Outdoor Minds nous vous avons réservé une véritable masterclass !
Nous avons eu l’immense plaisir de recevoir la super star des VC français : Jean de la Rochebrochard, Managing Partner chez Kima Ventures.
Sincèrement, je ne saurais par où commencer tellement il y aurait de choses à dire sur cet épisode, mon meilleur conseil étant bien évidemment d’aller l’écouter.
Si je devais tout de même le résumer et vous donner envie d’aller l’écouter, je dirais :
Jean revient sur son parcours jusqu’à arriver en 2015 à ce qu’il décrit comme son job de rêve.
« Est-ce que bordélique est un signe précurseur ? Est-ce que le fait que j'étais un cancre à l'école, c'était un bon signe précurseur ? Je ne sais pas trop. Non, il n'y avait pas de signe précurseur. Il y avait surtout des mauvais signes au démarrage quand même. »
Jean, ou l’homme qui est « organisé comme une machine tout en vivant comme un humain », nous donne :
1. ses conseils d’organisation : à vos crayons pour prendre des notes !
2. les raisons pour lesquelles il a voulu sauter du côté investisseur ;
3. son opinion sur pourquoi il y a si peu d’investissements dans l’industrie de l’outdoor ;
4. ce qui l’a marqué depuis ses débuts : « les gens ont peur de prendre des risques. Et pourtant, c'est ça qui fait avancer. » ;
5. ses précieux conseils pour les entrepreneurs qui voudraient lever des fonds.
« La 1ère interaction n'est pas une interaction qui vise à convaincre la personne. Convaincre la personne au bout de la première interaction, c'est lourd. C'est comme un mec ou une nana qui a envie de pécho sa date le premier soir. C'est pénible. Donc, c'est pareil. Ton job, c'est d'avoir envie de déclencher un deuxième rendez-vous, la deuxième date. »
Jean évoque son erreur d’association et ses anecdotes : « Quand tu mets 5, 6, 7 millions d'euros dans une boîte et qu'à un moment donné tu te rends compte qu'elle est au bord de la faillite et que ça va jouer à rien, bah là franchement tu es en stress. »
Conseil bonus de Jean : ne commencez pas votre journée en vous demandant quand est-ce qu'elle se termine, mais allez travailler en vous disant qu'est-ce que je vais accomplir aujourd'hui ?
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« Il y a des trains qu'il ne faut pas prendre et des trains qu'il ne faut pas rater. »
Notre invité du jour n’est autre que Laurent Surbeck, co-fondateur de Montagne TV.
Au micro d’Outdoor Minds, Laurent Surbeck revient sur son enfance et son parcours : de la banlieue parisienne à Montagne TV.
« Je ne suis pas né en montagne, donc je voulais parler à tout le monde, non pas uniquement aux gens qui aimaient déjà la montagne, mais à ceux qui ne savaient pas encore qu'ils pouvaient l'aimer. »
Laurent nous raconte comment il a fait la bascule et ce qui l'a le plus marqué dans les côtés positifs comme négatifs depuis la création de Montagne TV.
« Si tu ne sais pas tenir la pression, il ne faut pas monter une boîte. Et ce n'est absolument pas un défaut. C'est juste un constat. »
Laurent revient sur la création de l’initiative Mountain Change Makers et comment cette initiative a fleuri en lui.
« Je me suis dit "mais il faut que je fasse quelque chose, ce n'est pas possible. Ce que je sais faire moi, c'est du contenu et le médiatiser. Donc je me suis dit "il faut que je fasse ça". J'ai écrit cette série "Mountain Change Makers" avec le principe de "regard croisé" entre deux personnes qui normalement ne sont pas faites pour se parler. »
Laurent évoque également :
→ le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ ses plus grands accomplissements et erreurs ;
→ où il puise sa motivation : « Je kiffe ce que je fais » ;
→ ses perspectives sur les industries du tourisme et des sports outdoor : « La montagne doit changer, ce n’est plus un sujet. »
Conseil bonus : « Je vais citer Paul Rivier qui m'avait dit "n’ayez jamais peur de vous entourer de gens meilleurs que vous". »
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« Personne n'est irremplaçable, une relation de confiance, ça se construit dans le temps. »
Dans ce 28ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, rentrez dans les coulisses du « luxury property management ». Nous avons eu le plaisir de recevoir Romain Bourguignon, Responsable du property management chez Le Collectionist.
Romain revient sur son parcours et raconte son quotidien dans la gestion immobilière de luxe : « Il y a des moments de stress comme ça où, en un claquement de doigt, il faut trouver une solution. »
Romain partage :
→ ce qui l’a le plus marqué depuis qu’il travaille dans cet univers ;
→ où il puise sa motivation ;
→ ses anecdotes croustillantes entre carte bancaire, princesse & Cheval Blanc, et acheter des voitures en 15 jours ;
→ ses plus grandes satisfactions : la confiance !
« C’est important le carnet d'adresses, de compter sur les bonnes personnes. Et au fur et à mesure des années, on se fait un carnet d'adresses avec les bons et les mauvais, et on essaye de toujours travailler avec les bons. Quand je dis les bons, ce sont les personnes qui vont tout faire, tout déployer pour trouver une solution. »
Avec son œil d’expert, Romain évoque l'évolution de l’expérience client, ce qui était perçu comme un bonus avant est devenu un standard.
Comment gérer la partie développement durable dans le secteur du luxe ? Romain parle de son approche et de ses perspectives sur l’évolution du #tourisme : « On trouve des solutions, mais ça prend du temps. C'est toujours une course de fond, encore une fois. »
Conseil bonus : « Compter sur ses collaborateurs. Dans le milieu de l'hospitalité, parce qu'il y a cette notion d'urgence, on a envie de tout gérer soi-même, parce qu'on se dit qu'on va réussir à tout mieux contrôler en 10 minutes. Et en fait, je pense que c'est une erreur. Il faut vraiment s'appuyer sur ses collaborateurs. »
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Agir local et penser global !
C’est le leitmotiv de notre nouvel invité d’Outdoor Minds, Guillaume Desrue, Maire de Bourg-Saint-Maurice Les Arcs.
À notre micro, Guillaume nous raconte comment et pourquoi il est devenu maire : « J’ai toujours eu envie de changer les choses. Que ce soit à l'école, à l'université, au début de ma carrière professionnelle, j’étais toujours animé par cette volonté de faire bouger les lignes parce que ce qui existait ne me convenait pas. Quand les choses ne te conviennent pas, il faut se retrousser les manches et mettre les mains dans le cambouis. »
Guillaume évoque :
→ ce qui l’a motivé à s'engager en politique ;
→ ce qui l’a le plus marqué depuis qu’il est en fonction ;
→ le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ ses anecdotes avec le funiculaire et la crise des forfaits de ski ;
→ l’erreur qu’il a regrettée pendant 4 ans ;
→ son quotidien en tant que maire.
« Nous sommes 24 élus, aucun d'entre nous n'avait fait de politique auparavant. Nous nous sommes retrouvés dans ce grand bain qui est absolument passionnant mais sans forcément avoir les codes ni les outils nécessaires. »
Guillaume partage son conseil documentaire et ses perspectives pour les années à venir : « Les prochaines années vont être sacrément cruciales. Les changements qui vont s’opérer sur les trente années à venir sont déjà irrémédiables. »
Conseil bonus : « Il est crucial d'accroître les instances de démocratie participative. »
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« Il faut des années pour se faire une réputation et seulement 2 secondes pour la détruire. »
Que se cache-t-il derrière une photo ? Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, plongez dans les coulisses de la photographie professionnelle avec Tristan Shu Lebeschu, photographe outdoor professionnel depuis 18 ans.
« C’est la passion qui est devenue une profession. »
Tristan partage de nombreuses anecdotes sur son métier de photographe :
→ celle avec Kílian Jornet ;
→ son shooting le plus dingue dans les airs ;
→ son échec avec The North Face ;
→ l'anecdote sur l’opportunité qui a lancé sa carrière avec Val d'Isère : « S’il y a des gens prêts à me faire confiance, je me lance. »
Tristan raconte ce qu’est la réalité de son quotidien de photographe : « On a l'impression qu'on est tout le temps dehors en train de prendre des photos, mais en réalité, cela représente très peu de temps par rapport à toutes les autres tâches. »
Il évoque sa plus grosse erreur, le meilleur conseil qu’on lui ait donné, et ce qui l'a le plus marqué dans le domaine de l’outdoor et de la photographie au cours des 10 dernières années.
« Il ne faut pas négliger certaines phases du métier qui sont super importantes, comme la prospection. Quelle que soit ta réputation, ton nom, il est indispensable de rester en contact avec tout le monde et de montrer ton travail. »
À notre micro, Tristan a partagé cette réflexion : « Ce que je trouve toujours très marrant avec une photo, c’est que tu as le droit de vie ou de mort dessus tant que tu ne l'as pas rendue publique. Après, elle vit sa vie. Parfois, j'aimerais bien être une fourmi pour voir comment les gens l'accueillent, comment ils réagissent. »
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Trouve un associé !
C’est LE conseil de Charles-Edouard Girard, co-fondateur de HomeExchange, invité de notre nouvel épisode d’Outdoor Minds.
« J’étais très rebelle et très curieux. Donc, quand j'ai commencé à travailler, je me suis vite rendu compte que c'était impossible en tant que salarié dans une entreprise. »
À notre micro, Charles-Edouard revient sur son parcours : de consultant, en passant par la vente de frigos sur Internet, à monter une boîte de t-shirts personnalisés, jusqu’à LA rencontre qui a abouti à la naissance de HomeExchange.
Charles-Edouard évoque :
→ les débuts de HomeExchange ;
→ ses anecdotes sur l’échange de maisons et sa recherche d’assurance (merci la @maif !). À retenir : ne snobez pas les gens lors des salons ! ;
→ l’importance de faire de nombreuses itérations : « Si vous voulez arriver à ce que le site fonctionne, il faut changer tous les jours des tonnes et des tonnes de choses. » ;
→ l’importance d’avoir un associé : « Ça permet d'avoir une vraie discussion avec quelqu'un qui est au même niveau d'implication que soi. » ;
→ sa plus grosse erreur.
« Les conséquences ont été assez compliquées parce que perdre 25 % de son chiffre d'affaires en une journée, c’était très compliqué. »
Charles-Edouard nous parle des différences culturelles vues de sa fenêtre et de toutes ses anecdotes amusantes mais très utiles pour comprendre ces différences, particulièrement pour ceux qui souhaitent s’étendre à l’international !
Charles-Edouard donne sa vision sur le secteur du tourisme : « Les typologies de tourisme vont forcément changer. »
Conseil bonus : « Une erreur que peut faire un jeune entrepreneur, c'est de trop écouter ! »
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La thérapie par le ouf !
Nous continuons sur notre lancée. Après avoir accueilli Joel Gaillard, le coach de notre nouvel invité, nous avons aujourd’hui le plaisir de recevoir Xavier de Le Rue, snowboarder professionnel, pour ce nouvel épisode d’Outdoor Minds.
Xavier nous raconte l’état d’esprit de la famille de Le Rue, qui le porte depuis ses 16 ans : « Quand on partait en snow et même en ville, dans tout ce qu'on construisait, c'était : allez-y à fond, soyez fous, n’ayez peur de rien, il n'y a aucune limite. Mais par contre, bossez beaucoup. Il y avait un méga équilibre entre le côté travail et le côté folie, on ne se mettait aucune barrière. Tout est possible, on est capable de tout et on le fait avec le sourire, avec la banane.
Xavier revient sur l’accident qui a changé sa manière d’appréhender la montagne : « En 2008, j'ai été pris dans une énorme avalanche. C'était relativement tôt dans ma carrière et ça a été une grosse leçon. C'était un miracle que je m'en sorte, j'avais fait plus de 2 kilomètres dans l'avalanche. »
➜ Depuis cet accident, son approche du risque en montagne a changé. Xavier nous explique comment il prend la décision de descendre une pente ou non : « Je sais que je suis beaucoup plus intransigeant sur la marge de risque. Il n'y a aucune place pour du pari, tout est ultra calculé. »
Xavier évoque son dernier projet en Antarctique et nous donne son avis d’expert sur les conditions là-bas.
Xavier raconte :
→ sa plus grosse erreur ;
→ ses projets futurs ;
→ son plus gros « bold move » ;
→ ses anecdotes et ses galères ;
→ sa vision sur le futur du secteur des sports outdoor.
« Je pense que c'est un peu notre rôle de faire avancer les choses dans le bon sens et je pense que l'industrie de l'outdoor a les moyens et la capacité d'inspirer les autres industries à faire mieux, à produire mieux, à consommer mieux. » À méditer !
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