Les plus récents
Détails
Un entrepreneur qui sort et un entrepreneur qui s'en sort !
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Thérèse Lemarchand, fondatrice de MAINPACES, un cabinet de coaching exécutif qui accompagne les dirigeants dans une approche globale.
« Une entreprise est toujours à l'image des personnes qui la dirigent. Et tant que ces personnes n'auront pas compris ce qu'est leur écologie personnelle, elles auront beaucoup de mal à être en écho avec les besoins de leurs collaborateurs et ceux du monde. »
Thérèse revient sur les grandes étapes de sa carrière professionnelle jusqu’à aujourd’hui : d’EDF à une galerie d’art contemporain à Singapour, en passant par la création d’entreprises.
« Depuis mes études d'ingénieur jusqu'à MAINPACES aujourd'hui je suis passée d'un regard technique à une expérience sensible, et cela a profondément modifié mon engagement au service de l'environnement. »
À notre micro, Thérèse partage :
→ La naissance de MAINPACES : « Je tournais autour du triptyque entrepreneuriat, innovation et impact. C'est-à-dire : comment puis-je avoir de l'impact en créant une entreprise innovante ? » ;
→ Sa vision du risque : « Tu ne prends pas un risque s'il n'y a pas un rêve derrière. » ;
→ Un souvenir marquant ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ Où elle puise sa motivation lorsqu’elle traverse des moments difficiles ;
→ Son travail avec de nombreux dirigeants d'entreprises et les schémas comportementaux qu’elle a pu identifier face aux risques auxquels ils sont exposés.
« Si l'on fait un parallèle entre les dirigeants et les sportifs de haut niveau, on remarque une grande différence : dans leurs programmes, il y a toujours des plages de récupération. Un sportif sait qu'il ne peut pas être au top de sa forme en permanence et que, s'il veut performer, il a besoin de temps de récupération. »
Thérèse nous partage également les conseils qu’elle donnerait à quelqu’un qui souhaite entreprendre et ce qu’elle sait avec une absolue certitude : « Dans un monde aussi fluctuant, nous avons impérativement besoin de racines profondes et de valeurs fortes pour être capables de prendre des décisions, de nous orienter et de tenir la barre, aussi bien dans nos vies que dans nos entreprises. »
Si le sujet du coaching génératif vous intéresse, vous pouvez approfondir avec le livre de Thérèse :
Rêver et Agir : Réflexions autour du Coaching Génératif.
Lire la suite
Détails
« Il faut toute une communauté pour qu'un entrepreneur réussisse. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir @Morgane Longo, co-fondatrice de Lib&Lou. 🧩
Morgane nous raconte les signes précurseurs dans son enfance de la tournure qu’a prise aujourd'hui sa carrière professionnelle : « Je voulais toujours tout savoir. J’avais besoin de comprendre. C'est-à-dire qu'on me disait quelque chose, je ne le prenais jamais pour argent comptant, il fallait que j'aille chercher ce qui se passe derrière. Et j’avais une passion pour les jeux d'enquête, les énigmes et donc la résolution de problèmes. »
À notre micro, Morgane évoque les grandes étapes de sa carrière et la bascule – sur une couleur de papier, oui vous avez bien lu – qui a fait passer Morgane de fonctionnaire à entrepreneuse et a conduit à la création de Lib&Lou.
Morgane revient sur :
→ Son acculturation au changement de statut professionnel ;
→ L’anecdote autour du lancement de Lib&Lou ;
→ Les plus grosses galères qu’elle a rencontrées : « Aujourd’hui, la plus grosse galère, c'est vraiment la galère de financement. Qui plus est, quand on est une femme venant du milieu du fonctionnariat, n'ayant pas fait les écoles qu'il faut ni le réseau qu'il faut, c'est encore plus difficile d'aller chercher des financements. » ;
→ Le meilleur conseil qu'on lui ait donné ;
→ Sa définition du risque et comment elle vit le risque.
« Je pense qu'on est en capacité de prendre des risques quand on se sent en sécurité malgré tout. »
Morgane partage sa vision pour les 5 à 10 prochaines années et ce qui la fait tenir lorsque c’est difficile : « Si t'as envie d'arrêter, t'arrêtes, mais il faut savoir pourquoi t'arrêtes. » Auteur : Alban, mari de Morgane.
Conseil bonus de Morgane :
Mettez-vous dans l’action, n’attendez pas que les événements se passent, parce que les événements ne se passent pas, mais provoquez-les !
Lire la suite
Détails
28 minutes qui pourraient changer beaucoup de choses pour toi !
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Adrien Colombié, serial entrepreneur & investisseur et, plus récemment, sage-femme, pour une véritable masterclass ! Un épisode qui pourrait te faire voir les choses différemment…
Dans cet épisode, Adrien revient sur son parcours : entre école de design, un tour du monde en sac à dos et la création d’une agence, jusqu’à la vente de cette agence 9 ans plus tard. Une décision prise à la suite d’un événement qu’il qualifie comme « la plus belle chose qui me soit arrivée ces 2 ou 3 dernières années. »
À notre micro, Adrien nous livre sa vision du risque et sa relation avec celui-ci. Les plus gros risques qu’il a pris et pourquoi il les a pris.
« Pendant 2 ou 3 ans, je me suis accroché à mon entreprise alors que je vibrais moins. Je me suis accroché à ça parce que ça m'apportait un statut, un salaire confortable, beaucoup de temps libre. Et donc, ma logique voulait que je continue, que je m’accroche. Finalement, je n’avais pas vu ce risque-là : le risque de ne plus être connecté avec ce qui me faisait vibrer. »
Adrien partage également :
→ Sa plus grosse erreur ;
→ Comment il puise sa motivation : « L’optimisme, c'est l’outil le plus puissant qu’on a dans les difficultés. » ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ Ce dont il est le plus fier ;
→ Ses recommandations de livres.
« On prend environ 35 000 décisions par jour. Moins d’1 % de ces décisions sont conscientes. Le reste est dicté par notre inconscient. Le vrai levier, c’est de travailler sur ce qui nous freine : nos peurs, nos croyances, notre vision du monde. Parce que c’est 99 % de nos décisions. »
Adrien nous raconte comment il envisage ces 10 prochaines années : « Je rentre dans un nouveau cycle où j’ai envie d’explorer, de jouer, de retrouver cette énergie. »Il nous donne une tonne de conseils et de pistes de réflexion. Voici 2 d’entre eux, et pour le reste, les liens d’écoute de l’épisode sont juste en dessous.
- Rester connecté à votre intuition, à vos envies.
- Il y a une chose qui est sûre : à la fin de la journée, le soleil va se coucher et on va se poser la question : qu’est-ce que j’ai fait de mon temps ?
Lire la suite
Détails
« Vendre des PowerPoint qui vont sur la lune, nous, on ne sait pas trop faire. »
Eux, ce qu’ils savent faire, c’est développer et coder – et ils le font très bien ! Alexandre Bouquet, co-fondateur de Nolio, est le nouvel invité d’Outdoor Minds. À notre micro, il nous parle de son parcours et de Nolio.
« On s'est dit qu'on allait faire quelque chose d’utile. »
Alexandre revient sur les grandes galères du début de la création de Nolio (adieu les dimanches soirs chill quand tu lances ta boîte) : « On n'a pas le choix, on va prendre nos téléphones, on va appeler des coachs qui ne nous connaissent pas. Ça, ce n'est pas facile, puisque du coup, tu ressens aussi un gros syndrome de l'imposteur, en mode : "Bah, je suis un vendeur de tapis." »
Alexandre nous partage :
→ Sa vision du risque : « Tu dois être prêt à perdre plus que ce que tu vas potentiellement gagner. » ;
→Comment il le vit au quotidien ;
→ Le plus gros risque qu’il a pris et pourquoi il l’a pris ;
→ Sa plus grosse erreur dans le cadre de Nolio et ce qu’il en retient : « Ne pas assez s’écouter ! » ;
→ Ses grandes satisfactions.
« Quand tu as commencé dans ta chambre, à faire tes lignes de code comme un fou, tu te dis : si un jour, déjà 30 coachs l'utilisent, c'est incroyable. Et puis après, tu vas encore plus loin et tu vois des fédérations, des athlètes olympiques préparer les Jeux avec ta solution… C’est une grande fierté. »
Conseils bonus d’Alexandre :
- Lance-toi le plus tôt possible : le meilleur business plan reste le terrain !
- N’écoute pas trop les conseils : forge-toi ta propre opinion et vas-y. Et si tu fais des erreurs, c'est là que tu apprendras et que tu pourras vraiment avancer.
- Les levées de fonds ne sont pas une fin en soi, écoute-toi !
Lire la suite
Détails
Cash is king & timing is everything!
Pour ce 16ᵉ épisode de la 6ᵉ saison d’Outdoor Minds, « No risk, no story! », j’ai eu le plaisir de recevoir Geoffroy Bragadir, co-fondateur de Ring Capital.
Dans cet épisode, Geoffroy revient sur son parcours rythmé par des aventures entrepreneuriales, jusqu’à la création de Ring Capital (avec en bonus l’anecdote sur le choix du nom de la société). Il nous parle également des activités et des types d’investissements de Ring Capital.
« Créer une société de gestion et un premier fonds, ce que les gens du métier appellent First Time Team, First Time Fund, c'est très compliqué. Heureusement, on n'avait pas conscience de à quel point c'était compliqué. »
Geoffroy nous raconte :
→ Les difficultés qu’ils ont rencontrées en créant le fonds : « Le taux de transformation de cette activité est probablement le pire de toutes les industries. » ;
→ Sa plus grosse erreur (reminder : être investisseur, oui, c’est tout un métier) ;
→ Les galères qu’il rencontre en tant que gérant d’un fonds ;
→ Sa plus grande fierté ;
→ Ce qui le fait tenir lorsque c’est difficile : « La responsabilité, principalement. On est responsables des investisseurs, on est responsables des salariés… en fait, on n’a pas d’autre choix que de tenir. »
Geoffroy parle aussi de sa relation au risque, en évoquant le plus gros risque qu’il a pris et pourquoi il l’a pris : « On a divisé nos salaires par quatre, surtout qu’on se lançait complètement dans l’inconnu, dans des métiers qu’on ne connaissait pas. »
Il partage également le meilleur conseil qu’on lui ait donné : « Soyez majoritaire et cash-flow positif, tout le reste, c’est de la littérature. »
Geoffroy donne une panoplie de conseils aux entrepreneurs, avec en prime son conseil bouquin à lire ! Il partage aussi sa vision des 10 prochaines années pour le private equity :
« L’impact va rentrer partout à cause des pressions, je dis, et donc aujourd’hui, on est au début de cette vague. Investir dans des entreprises qui ont l’impact au cœur de leur business model, c’est probablement un gage d’avoir des entreprises qui seront sur une double vague de croissance. »
Lire la suite
Détails
« Je ne me suis jamais retrouvé dans une situation où le mot risque me faisait peur. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Aurélien Ducroz, skieur, skipper, entrepreneur et auteur !
À notre micro, Aurélien nous raconte son enfance – et sa manière de freiner en vélo – ainsi que ses débuts en tant que skieur professionnel.
Il revient sur les grandes étapes de sa carrière en saut à ski et explique comment il a mis fin à dix ans de carrière sur un simple coup de fil de 1 min 30, avant de devenir champion en freeride.
« En saut, tout était organisé : je recevais mon planning, j’avais un carnet d’entraînement, je devais tout noter, tout était vérifié en permanence. On savait à quelle heure on venait me chercher, je savais même ce que je devais manger. Et du jour au lendemain, je me suis retrouvé dans le monde du freeride, où il n’y a aucune règle, aucun support, pas d’entraîneur… T’es seul au monde, et c’est à toi de créer ta carrière. »
Aurélien partage :
→ Sa vision du risque : « Il y a des envies qui ont été beaucoup plus fortes que des raisons. » ;
→ Ce qui le motive : « C’est d’apprendre. » ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ La plus grosse erreur qu’il ait faite : « C’est d’arrêter l’école. » ;
→ Ses anecdotes à base de garrots sur les quadriceps en Russie avant le départ d’une course ;
→ Ce qu’il sait avec une absolue certitude : « Que ce que je ferai, je le ferai à fond. » ;
→ Ses débuts de skipper.
« Le maximum que j’ai fait en mer, c’est 48 heures. Et là, je pars traverser l’Atlantique… Pour le coup, je ne sais pas où je vais, mais je pars en me disant que je pars pour apprendre. Je ne pars pas pour gagner, ni pour faire une performance. »
Le conseil d’Aurélien pour tous ceux qui veulent se lancer dans une carrière sportive : Il faut y croire !
Si cet épisode vous a plu, je vous recommande la biographie d’Aurélien : Latitude neige, longitude mer, parue aux éditions Les Passionnés de Bouquins.
Lire la suite
Détails
« Quand t'as vendu ta boîte 10, 20, 100 bars, ta vie change parce que t'as de l'argent... mais en fait, ta vie change surtout parce que tu te demandes ce que tu vas faire maintenant. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir de recevoir @Louis Debouzy, fondateur d'Amabilis, Exit.Club et du podcast Cut The Crap.
À notre micro, Louis revient sur les signes précurseurs de son enfance qui ont influencé sa carrière professionnelle et sur son parcours.
« J’ai un handicap depuis l'âge de 8 ans, et je crois que le handicap peut parfois nourrir un caractère d'entrepreneur. Quand tu ne peux pas ouvrir une porte ou te servir un verre d'eau, tu dois trouver des solutions alternatives. Finalement, c'est trouver une solution à un problème donné, et c'est un peu la définition de l'entrepreneur. »
Louis nous raconte :
→ Les grandes étapes de création de sa première boîte : « Les deux phases que je retiens, c'est vraiment le travail préparatoire et le premier client. » ;
→ Les plus grosses galères rencontrées entre ses premières expériences de vente et la vente de sa boîte ;
→ Sa définition du risque et sa visions du business : « Le business, c'est une équipe de sport, et chacun est à son poste. » ;
→ Sa plus grosse erreur et ce qu’il en retient : « J'aurais dû m'entourer davantage et peut-être prendre moins de décisions à chaud. »
→ Ce qui le fait tenir quand c'est difficile.
« C'est très important d'identifier son moteur. Moi, mon moteur, c'est guérir. J'ai une maladie des muscles, et il y a des trucs incroyables qui sont en train d'être découverts. Mais il faut de l'argent. »
Louis revient sur son expérience de la vente de sa boîte, ce qu’il en a retenu, et ce qui l’a amené à fonder Exit.Club : « C'est dingue le nombre de gens qui vendent leur boîte, se retrouvent dans une introspection profonde et parfois dans une dépression sévère. »
Les conseils de Louis :
> Identifie ton moteur : Qu’est-ce qui te révolte ? Qu’est-ce qui t'a traumatisé ou profondément marqué ? Qu'est-ce qui te prend aux tripes ?
> Sois curieux et pose des questions.
> Et surtout : sois heureux, optimiste et dans l’action !
Lire la suite
Détails
Lance-toi avec rigueur et bien entouré !
C’est le conseil de Jérôme Masurel, fondateur de 50 Partners, notre nouvel invité d’Outdoor Minds. Dans cet épisode, Jérôme revient sur son parcours, les grandes étapes de sa carrière professionnelle et nous raconte les débuts de 50 Partners.
« Je me suis dit : c’est intéressant de développer une solution qui permet de dérisquer le venture et de donner aux projets un taux de succès bien plus élevé que ce qu’on voyait habituellement. »
Créer un fonds sur le papier, c'est très joli, mais c'est extrêmement difficile. Jérôme partage les anecdotes, galères et défis auxquels il a été confronté : « Les 4-5 premières années, c’est une multitude de galères : on passe son temps à chercher des fonds, des ressources pour grandir et réaliser la vision qu’on a initialement. »
Jérôme évoque :
→ Où il puise sa motivation : « Je pense que c'est la conviction profonde que tu as par rapport à ton projet qui te porte. » ;
→ Les meilleurs conseils qu’on lui ait donnés ;
→ Ce qui le rend fier au quotidien : « C’est l’équipe ! Rassembler des gens qui partagent, qui sont passionnés par leur métier, qui se donnent à fond dans cette aventure. Ça, c’est un vrai kiff au quotidien. » ;
→ Ses conseils de lecture ;
→ Sa plus grosse erreur et les leçons qu’il en a tirées : « Les moments où je me suis dit : là, c'était vraiment une connerie, je pense que c'était sur des sujets de recrutement. » ;
→ Sa vision du risque. « C’est le propre de l’entrepreneur de prendre du risque. C’est ce risque que tu prends qui te permet d'atteindre de nouveaux objectifs et d'avoir des succès. »
Jérôme partage également sa vision pour les dix prochaines années dans l’industrie du capital-risque : « Globalement, il faut changer le monde sur de nombreux sujets. Il faut développer de nouvelles solutions. Il y a un boulevard pour tous les entrepreneurs qui souhaitent s’investir dans ces thématiques. Le flux de projets extraordinaires n’est pas près de s’arrêter. »
Conseils bonus de Jérôme : Mets l’humain au cœur du business : c’est toujours un facteur clé de succès. Entoure-toi bien et arme-toi de tout ce qui te permettra de franchir les différentes étapes. L’entrepreneuriat, c’est un marathon un peu sprinté, et le parcours est très, très long.
Accepterais-tu l’invitation d’Outdoor Minds pour venir partager ton témoignage à notre micro ?
Lire la suite
Détails
« Pouvoir prendre des risques, on ne s'en rend pas toujours compte, mais c'est une chance ! »
Dans ce nouvel épisode d'Outdoor Minds, j'ai eu le plaisir de recevoir Clara Delétraz, créatrice de la newsletter ENSEMBLE(S) et co-fondatrice de French Tech et Switch Collective.
À notre micro, Clara revient sur les grandes étapes de son parcours, les débuts de sa carrière professionnelle : « Je dirais que ça n'a pas super bien commencé » et comment l’aventure de la French Tech a débuté sur… un mail !
Clara partage avec nous :
→ ses plus grandes galères ;
→ ses erreurs les plus marquantes et les leçons qu’elle en a tirées : « On a fait beaucoup d'erreurs de recrutement, beaucoup, beaucoup, beaucoup au début.» ;
→ ce qui la fait tenir dans les moments difficiles ;
→ ses grandes satisfactions.
« Je crois que les choses dont je suis la plus fière, c'est à chaque fois d’avoir porté une idée, une cause ou un enjeu qui me tenait à cœur, mais qui, selon moi, n’était pas suffisamment entendu, vu ou ressenti dans la société. »
Clara nous livre aussi sa vision du risque et la manière dont elle le vit au quotidien : « Ton rapport au risque évolue en fonction du moment de ta vie. »
Elle évoque également sa vision et son combat pour les années à venir : « Mon nouveau combat, c’est de lutter contre la polarisation. Comment sortir de nos bulles pour relever les immenses défis qui nous attendent ? D’ici 2030, l’idée c’est qu’un million de Français se soient véritablement parlé, alors qu’ils n’auraient jamais dû se rencontrer dans les vies que nous menons aujourd’hui. Et que cela contribue à réduire la fracture sociale. »
Conseils bonus de Clara :
- Pour se lancer, faites de petits pas.
- Nous avons besoin les uns des autres, nous sommes tous interdépendants. Alors, parlons-nous !
Lire la suite
Détails
ll n’y a pas de manuel du parfait entrepreneur !
Et c’est l’invité du nouvel épisode d’Outdoor Minds qui nous le rappelle. J’ai eu le plaisir de recevoir Edouard Amouroux, co-fondateur de Blacksheep Van.
Alors, outre nous donner une furieuse envie d’évasion, dans cet épisode, Edouard nous partage également des clés entrepreneuriales très pertinentes. Et si vous hésitez à vous lancer, il est très probable que vous passiez le cap et démissionniez de votre job à la fin de l’épisode, je vous aurai prévenu.
À notre micro, Edouard revient sur :
→ son parcours ;
→ comment l’idée de lancer Blacksheep a émergé et les grandes étapes entre cette idée et le lancement (ou comment lancer une boîte de location de véhicules qui coûtent en moyenne 50 000 € pièce avec 5 000 €) ;
→ ses anecdotes et ses galères ;
→ le meilleur conseil qu’on lui ait donné : « Think out of the box! » ;
→ ses erreurs et ce qu’il en retient ;
→ ce qui le fait tenir lorsque c’est difficile : « L’énergie, je vais la chercher en me disant que j’en suis capable parce que je l’ai déjà fait ou parce que j’ai déjà fait quelque chose de similaire et que je sais que ça va le faire. »
Edouard partage aussi sa vision du risque et les plus grands risques qu’il ait pris dans sa vie.
« Dans les situations professionnelles, il y a rarement quelque chose qui n’est pas réparable. Il y a rarement une situation où c’est une impasse. Tu peux toujours te sortir d’une mauvaise passe. »
Dans l’épisode, Edouard nous livre sa vision entrepreneuriale et donne des conseils aux personnes qui souhaiteraient se lancer dans l’aventure. Voilà 2 conseils d’Édouard, et pour le reste, ils sont dans l’épisode !
Si tu te retrouves coincé ou bloqué, pose des questions, demande de l’aide autour de toi, il y a toujours quelqu’un qui va venir t’aider et t’apporter quelque chose !
« Il faut mettre ses baskets pour aller courir, il faut mettre son blouson pour aller dehors, donc il faut y aller, il faut envoyer ce mail à son boss pour dire "Allez, je vais partir, je vais quitter la boîte parce que j’ai un projet pro." »
Alors, prêt(e) à envoyer cet email ?
Lire la suite