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L’homme qui fait même ce qu'il ne sait pas faire !
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir de recevoir Joel Gaillard, alias Mojojojo, entrepreneur et entraîneur.
Joel nous parle de la vie de coach et des 4 piliers sur lesquels il s’appuie : « Ce sont des connaissances scientifiques, biologiques, techniques qui évoluent et dans lesquelles il faut être dans des niveaux de compétences de plus en plus élevés. »
Joel nous confie les évolutions qu’il a constatées avec son œil de coach mais également avec sa vision d’entrepreneur : « Quand tu relèves des challenges, tu sais que la frustration est omniprésente. Donc quelque part, tu apprends à vivre avec, elle fait aussi partie des énergies dont tu as besoin. »
Joel nous raconte ses anecdotes, notamment une qui met en lumière les capacités des hommes (coucou Paul Henri de Le Rue - OLY). Il nous parle aussi de sa fonction d'entrepreneur : « Je suis quelqu'un qui aime faire ce qu'il ne sait pas faire. »
Joel évoque :
→ ses erreurs et ce qu’il en retient ;
→ ses satisfactions : « Mes satisfactions, elles sont humaines ! » ;
→ les évolutions du secteur des sports outdoor.
« Jamais je ne me pose la question de savoir si je peux lâcher, non. La seule question que je me pose, c'est est-ce que j'arrive à l'échéance, est-ce que je recule l'échéance ou est-ce que je suis en avance sur l'échéance. »
Le conseil bonus de Joel : « N’en écoute aucun ! »
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« Tout le monde a le droit de rêver et tout le monde peut réaliser de grandes choses, même si on n’a pas tous les mêmes atouts au départ. »
Nouvel épisode, nouvel invité ! Aujourd’hui, au micro d’Outdoor Minds, nous recevons Yves Dimier, ancien skieur de l'équipe de France et directeur du domaine skiable de Val-Cenis.
Yves revient sur son parcours jusqu’à revenir « à la maison » à Val-Cenis. Il évoque ce qu’il retient de cette aventure de sportif de haut niveau dans son quotidien.
« Quand on est sportif de haut niveau, on s'entraîne, on passe ses journées à trouver des solutions, à mettre en place des procédures pour être performant avec une performance qui est justement à très haut niveau, donc avec une grosse exigence. Quand on rentre dans le monde de l'entreprise, on se rend compte que finalement tout ce qu'on a appris pendant sa carrière de haut niveau, c'est quelque chose qui est très facilement réplicable. »
Yves Dimier, premier athlète masculin à marquer des points en Coupe du monde avec des skis courts, nous raconte ses anecdotes, notamment celle de ses « skis de guignol » ! Et comment il a réussi à convaincre un conseil municipal de mettre en place le yield management et le dynamic pricing.
Yves nous confie :
→ sa plus grosse erreur et ce qu’il en retient ainsi que ses plus grandes satisfactions ;
→ ce qui l’a marqué dans l’évolution des activités de sports d’hiver ;
→ sa vision pour les 10 prochaines années.
Conseil bonus de Yves : « À chaque problème, une solution. À toi de la trouver. »
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« On a souvent tendance à trop écouter les autres. »
Attachez vos ceintures et embarquez pour 41 minutes d’histoires complètement délirantes (et pourtant bien réelles !) avec Thibaud Duchosal. Entrepreneur, skieur, explorateur (oui, rien que ça !), Thibaud partage son parcours audacieux dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds.
Thibaud revient sur son enfance et le grave accident qu’il a eu il y a 20 ans, un événement qui a chamboulé sa vie et l’a conduit à devenir skieur professionnel : « Je pars pour une carrière de freerider alors que j'en avais l'interdiction totale d'un point de vue médical. »
Thibaud raconte le cheminement qui l’a conduit à ouvrir sa première boîte de production audiovisuelle et le déclic à son origine : « Je finis 6ème mondial, je devais avoir en tout et pour tout 8 000 € de sponsoring avec lesquels je devais payer tous mes frais de déplacement et autres, donc en gros, je dépensais de l'argent de ma poche pour finir 6ème mondial. »
De cette entreprise de production à investisseur dans l’immobilier, en passant par une agence de voyage et fondateur d’un festival, Thibaud vit à fond et suit le flow de la vie.
« Dans l'entrepreneuriat parfois, en pensant avoir une super idée et vouloir la mettre en place pour gagner du temps ou de l'argent, on déstabilise tout un écosystème ou un processus déjà en place. »
Anecdote à ne pas louper, ou comment vivre la journée la plus folle de sa vie, comme dirait Thibaud : « L’aventure avec un grand A », c’est le moins qu’on puisse dire !
Conseil bonus de Thibaud : « Quand on est entrepreneur, il faut faire beaucoup de veille, regarder ce qui se passe chez nous, mais surtout ce qui se passe aussi à l'étranger. »
Un épisode passionnant et riche en rebondissements !
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« Ce qui compte dans un projet, dans une boîte, c'est l'exécution. C'est ça qui est le plus important. Donc il faut y aller. »
Dans ce 20ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, nous avons reçu le serial-entrepreneur Nicolas Lemeteyer, CEO et co-fondateur de sa dernière aventure entrepreneuriale : KORP.
Nicolas nous raconte son parcours, LA rencontre qui lui a donné envie de commencer à entreprendre et de ne plus s’arrêter ! Ainsi que l’histoire de la naissance de sa dernière aventure entrepreneuriale, une fois de plus une histoire de rencontre humaine.
« Je dis souvent que les entrepreneurs, c'est des vendeurs. Si tu n'as pas d'appétence pour la vente, ça va être compliqué. »
Nicolas partage sa vision et son rapport à l’entrepreneuriat : « Dans l'entrepreneuriat, les moments de bonheur, parfois, ils n'existent pas. Parfois, il y en a qui n'arrivent jamais et il y en a très peu. Donc je pense que c'est surtout un mindset et de se dire que ça va être compliqué. Pour moi, en tout cas, l'entrepreneuriat, c'est un mode de vie qui n'est pas destiné à tout le monde. »
Nicolas évoque :
→ son anecdote sur la première fois qu’il a appris à vendre et à faire une vente dans un magasin de costumes ;
→ son anecdote avec Tupperware ;
→ ce qui le fait tenir lorsque c’est difficile ;
→ sa vision dans le secteur du sport.
« Il va y avoir de plus en plus de connexions entre le sport, le business et l'entrepreneuriat. Il y a tellement de valeurs qu'on apprend dans le sport, que ce soit sur l'hygiène de vie, la régularité, la résilience, le fait d'être en équipe. »
Conseil bonus de Nicolas : « On peut réfléchir pendant des heures au meilleur truc, mais en fait, entre temps, il y a peut-être plein de boîtes qui se sont lancées et des opportunités qu'on a perdues. »
Alors, ami.es entrepreneurs, foncez et au boulot !
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« Partir à l'aventure, ça nous enrichit, ça secoue un peu nos convictions et ça nous fait grandir. »
27 minutes d’évasion garanties en écoutant les anecdotes, les galères et les folles histoires d'Alexandre Zurcher, le fondateur de Vintage Rides, dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds !
À notre micro, Alexandre partage sa définition du voyage et son incroyable aventure entrepreneuriale : des hauts, des bas, des erreurs, des satisfactions, mais surtout une motivation et une passion inchangées pour l’aventure, les rencontres et les voyages.
« Quand il y a des imprévus, quand il y a une pause, on s'intéresse à ce qu'il y a là où on est arrêté. En général, on fait des rencontres, il y a toujours des locaux qui viennent nous voir, nous prêter main forte, qui nous offrent le thé. C'est là que le mot aventure prend tout son sens. »
Alexandre nous raconte l’histoire de la création de Vintage Rides : « À 19 ans, j'avais l'occasion de faire une année d'études à l'étranger dans mon cursus. Je cherchais à aller le plus loin possible, je cherchais le plus gros choc culturel possible. Donc je me suis dit que c'était une bonne idée d'aller dans un campus en Inde. »
Alexandre partage avec nous :
→ ses anecdotes les plus folles ;
→ le pire conseil qu’on lui ait donné ;
→ ce qui l’a marqué dans les évolutions du secteur du tourisme et ses perspectives pour l’avenir ;
→ sa vision entrepreneuriale.
« On s'est réorganisés. Il y a des choses qu'on avait internalisées et qu'on a externalisées. C’est beaucoup plus malin de chercher des partenariats stratégiques, quitte à les aider financièrement et à investir de l'énergie et des ressources dedans, plutôt que de monter des structures internes. »
Conseil bonus d’Alexandre pour les entrepreneurs qui aimeraient se lancer sur le marché indien !
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« Des fois, ça fait du bien de descendre au fond du trou et de prendre 2-3 heures d'introspection, de prendre de la hauteur, de pouvoir faire un pas de côté, et d'essayer de te rappeler pourquoi tu fais ça. »
Nous avons reçu à notre micro pour ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, Lionel Marsanne, CEO de CIMALP.
Lionel retrace son parcours en parlant du petit garçon qu’il était : « J'ai toujours beaucoup aimé l'innovation. J'ai beaucoup joué, je pense, comme beaucoup de petits garçons, avec des Legos. Mais j’aimais ne jamais faire ce pour quoi la boîte était destinée. J'aimais bien utiliser et transgresser les Legos et en faire quelque chose de mon imaginaire. »
Après la création de sa première entreprise dans les télécoms employant 100 salariés en 2008, à 28 ans, une question à laquelle Lionel n’avait pas prévu de répondre se pose : veut-il reprendre l’entreprise familiale ?
« J'ai un attachement particulier à l'entreprise. Je suis fils unique en plus. Donc, si tu veux, les discussions le soir, le week-end, etc., à la maison, sont souvent des discussions de travail. Et donc, quand mon père me dit qu’il veut soit vendre, soit arrêter l'entreprise, ça me touche, en fait. »
Lionel nous confie :
→ où est-ce qu’il puise sa motivation ;
→ l’anecdote très inattendue autour du développement du segment chaussure de CIMALP ;
→ ses perspectives sur l'industrie des sports outdoor ;
→ ses débuts difficiles chez CIMALP.
« Je suis vraiment passé par un moment difficile au bout de trois, quatre, cinq ans, où tu t'investis à travailler énormément, à quasiment pas avoir de salaire, et tu te poses forcément plein de questions : est-ce que je dois arrêter, est-ce que je ne dois pas arrêter, est-ce que je vais pouvoir arriver à en faire quelque chose ? »
Conseil bonus de Lionel : N’écoutez pas trop les conseils des autres, ce qui est bien pour quelqu’un ne l’est pas forcément pour vous !
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D’une entreprise de sacs à provisions à une entreprise de montagne.
Dans ce 17ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir de recevoir Romain Millet, PDG de MMG | Millet Mountain Group.
À notre micro, Romain nous raconte comment, après que l’entreprise Millet ait été vendue par son grand-père, il a pu la racheter des années plus tard :
« J’ai toujours eu en tête, avec mon oncle, qu'une belle histoire pourrait se réécrire. Il y avait une chance infime que cela puisse se produire. On a eu un peu de chance. On l'a probablement un peu provoquée, mais on a réussi à racheter l'entreprise. »
Romain revient sur les étapes de sa vie qui l'ont mené jusqu’au rachat de Millet Mountain Group : « La seule raison qui m’anime encore aujourd’hui, c'était de remettre l'église au milieu du village et de tenter de racheter l’entreprise. Entre mon enfance et aujourd’hui, il s'est passé beaucoup de choses et chaque étape a été très empirique. Cela semble très construit, très rationnel mais c'est faux. Cela s'est souvent produit par hasard. »
Romain évoque :
→ l’histoire passionnante et émouvante de l’entreprise Millet ;
→ ses anecdotes avec Reinhold Messner et la Chine ;
→ ses erreurs : « À un moment donné, le succès monte à la tête. » ;
→ l’émotion du jour où il a récupéré les clés de l’entreprise ;
→ le meilleur conseil qu'on lui ait donné.
« Être curieux. Je pense que c'est essentiel d'explorer le monde, de se promener un peu et de revenir à un endroit où on est bien et dans son ancrage. Il faut bouger. C'est fondamental. »
Les industries du tourisme en montagne et des sports outdoor ont énormément évolué. Romain nous parle des changements qui l’ont le plus marqué et partage sa vision sur l’industrie pour les 100 prochaines années, comme à leur habitude chez Millet.
« La problématique climatique est l’un des défis majeurs de l'humanité et nous n’arrivons pas à bouger. Il existe des solutions scientifiques, il faut qu'on arrive à trouver un déclic pour que les sciences sociales soient entendues. »
PS conseil de Romain n°1 : Chefs d'entreprise, adoptez le design thinking. C'est très intéressant de se projeter en 2050 pour réfléchir à ce que nous devrons apporter à ce moment-là dans ce contexte de marché.
PS conseil de Romain n°2 : Allez voir le documentaire de NTM.
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« Appuie-toi sur ton vécu et sur ce que tu as fait, sur cette capacité à aller de l'avant, à ne pas lâcher, à te dire : c'est dur en ce moment, mais les beaux jours vont revenir. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, nous avons eu le plaisir d’inviter à notre micro Alexandre Vercoutre, CEO de MARCO VASCO.
De conseiller financier à directeur général de MARCO VASCO, Alexandre revient sur son parcours et sur son baptême du feu lors de son arrivée dans l'entreprise : « De cette erreur, ce que je retiens, c'est sans doute le manque de communication et le manque de co-construction. »
Alexandre nous raconte : → les défis qu’il a rencontrés et les leçons apprises ; → ses anecdotes de voyage ; → les enseignements tirés de ses erreurs ; → le "game changer" de sa carrière.
Alexandre insiste sur l’importance de l’écoute : « Pour commencer à être suffisamment critique ou pertinent dans ses prises de position, ses prises de parole, il faut commencer par être docile. Mais docile, au sens latin du terme : se mettre en position d'apprendre. Et l'écoute, c'est vraiment la meilleure façon de se mettre en position d'apprendre. »
Alexandre partage son point de vue sur l’avenir de l’industrie du tourisme, notamment avec le développement de l'IA : « Chez MARCO VASCO, c'est quelque chose que nous utilisons de plus en plus pour améliorer la relation client. L'IA nous permet de gagner en efficacité et en productivité. Le rédactionnel est plus propre. »
Conseil bonus by Alexandre : « Écoute, écoute-toi, fais-toi confiance. C’est la meilleure façon d’exploiter pleinement ton potentiel ! »
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« Tu ne peux pas avancer sans te fixer des objectifs et qu'ils soient très hauts. »
Au micro d’Outdoor Minds pour ce nouvel épisode, nous avons reçu Maxime Moulin, réalisateur et fondateur de CLUSTR.FILMS.
Maxime retrace son histoire et nous raconte comment la réalisation de films a basculé d’un loisir étudiant à un véritable métier passion et une aventure entrepreneuriale : « J’ai commencé à filmer mes potes à la fac qui faisaient du ski. »
Maxime nous raconte ses anecdotes les plus captivantes et revient sur ce que son métier lui a permis de faire.
« J’ai toujours eu l'âme de quelqu'un qui a besoin de lancer son projet et de le mener. À chaque fois que j'avais des postes où j'étais salarié, j'étais tout le temps super triste. »
Filmer des riders n’est pas anodin, il y a une part de risque et le risque peut être létal. Maxime nous parle de la façon dont il aborde ses projets : « Au début, j'ai dû gagner leur confiance. Qu'ils me fassent confiance dans l'image que je vais renvoyer d'eux à travers les films, mais aussi dans ce qu'on peut faire ensemble en montagne. »
Maxime évoque :
→ sa routine de travail ;
→ ses accomplissements ;
→ les changements les plus marquants dans l’industrie du tourisme et des sports outdoor ;
→ où il puise sa motivation ;
→ et sa recette du succès : « Le côté artiste et entrepreneur doivent se mélanger. »
Concernant le futur de l’outdoor, comme l'a si bien dit Maxime : « Les marques deviennent de plus en plus des médias. » Cela implique un changement dans la manière dont les marques prennent aujourd’hui la parole.
La manière de construire nos stratégies marketing et de communication doit donc évoluer dans le même sens.
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« On n'est jamais à l'abri d'une bonne nouvelle. »
Dans ce 14ème épisode de la 5ème saison d’Outdoor Minds, nous avons reçu Florian Vallet, co-fondateur & CEO de Activhandi, pour parler accessibilité, inclusion et sport outdoor.
« En Europe, on estime à 80 millions de personnes en situation de handicap. Et je ne parle même pas des seniors, des gens qui ne seront pas dans des établissements de santé, qui seront bien chez eux et qui, du coup, devront aller faire quand même des activités. »
Activhandi est une plateforme qui référence les activités outdoor pour le monde du handicap et des seniors. À notre micro, Florian revient sur les débuts de son aventure entrepreneuriale, les défis auxquels il a été confronté, ses erreurs et ce qu’il en retient.
« Ça a été un long parcours du combattant. Tout ce qu'on a fait jusqu’à maintenant, on l'a fait avec nos petits bras musclés. »
Florian nous partage :
→ ses anecdotes (ps : n’oubliez pas de relire vos documents ) ;
→ sa vision sur le futur de l’accessibilité dans les activités outdoor ;
→ ses conseils de lecture ;
→ ses méthodes entrepreneuriales.
« Nous, on a toujours voulu tester, c'est-à-dire qu'avant de lancer réellement un truc, on le teste. Au début d’Activhandi, on a vu des utilisateurs, des accompagnants, des offices de tourisme, des professionnels… Il faut tester, on ne sait jamais si c'est bon ou mauvais. »
Florian nous apporte son éclairage avec son œil d’expert sur le monde du handicap et de l’outdoor avec une question qui se pose : pourquoi y a-t-il si peu d’acteurs sur ce marché ?
Un marché de 80 millions de personnes n'est pas une niche, mais une véritable cabane. Amis banquiers, ne snobez pas les entreprises qui s’attaquent à cette manne.
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