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Failure is not an option!
C’est le mantra du nouvel invité de Outdoor Minds, Günther Doll, PDG de Lacroix Sports, alias le couteau suisse !
Dans cet épisode, Günther revient sur son enfance : « J'ai eu une enfance un peu singulière puisque je suis né à Abu Dhabi. J’ai passé toute mon enfance au Moyen-Orient, notamment en Arabie Saoudite. Mais dans les années 70-80, ce n’était pas vraiment la carte postale qu’on connaît aujourd’hui avec les influenceurs. »
Et nous retrace les grandes étapes de sa carrière, depuis ses débuts chez Oxbow jusqu’à aujourd’hui : de la création d’une marque de ski, au développement du surf de mer le plus propre possible, en passant par le secteur automobile – parce qu’il lui fallait une nouvelle bagnole – jusqu’à la reprise de Lacroix Sports.
« Les hauts et les bas de l'entrepreneuriat, c’est d’être au bon moment, au bon endroit. Le timing, c’est ça le plus important. »
À notre micro, Günther partage comment il en est venu à quitter des postes salariés confortables pour se lancer dans la reprise d’une entreprise : « Plus l’opportunité est grosse, plus il y a de risques… et plus ça me plaît ! »
Il nous donne sa propre définition du risque, et parle du plus gros qu’il ait pris en reprenant Lacroix : « Il y a le risque financier, le risque personnel, car c’est un investissement énorme. Il y a aussi le risque de ne pas pouvoir se cacher derrière d’autres. On est sur un podium où les gens vous regardent, vous jugent, vous critiquent. Il faut avoir les épaules assez larges pour assumer ses choix stratégiques, rester convaincu et avancer. »
Dans cet épisode, Günther nous raconte aussi :
→ Sa plus grosse erreur, et ce qu’il en a tiré ;
→ Où il puise sa motivation ;
→ Ses plus grandes satisfactions ;
→ Ce qu’il sait avec une absolue certitude ;
→ Sa vision pour les 10 prochaines années dans l’industrie du sport ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné.
« L’anticipation et la rigueur : être à l’heure, avoir le bon timing, prendre de la hauteur pour anticiper les problèmes avant qu’ils n’arrivent. »
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On ne célèbre pas assez les demi-tours !
C’est Benjamin Védrines, alias cheval fougueux — alpiniste professionnel, multiple recordman du monde et guide de haute montagne — qui nous le rappelle !
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, Benjamin revient sur les signes annonciateurs, dès l’enfance, de ce qui allait devenir sa vie.
« J’ai grandi entouré de forêts, de montagnes, d’aventures… vers lesquels je me suis naturellement tourné, tout de suite. »
À notre micro, il nous raconte son parcours, entre la passion du vélo, puis celle de la montagne, et ce qui l’a mené à gravir certains des plus hauts sommets du monde. « Ma spécificité, c’est vraiment d’essayer, depuis quelques années, d’innover dans le milieu de la montagne, dans l’alpinisme. »
Benjamin partage sa vision du risque, les situations les plus périlleuses qu’il a connues — et pourquoi il y est allé malgré tout.
« Il y a cette volonté de toujours bien peser les risques. Et ça m’aide à y aller, à m’engager… ou à faire demi-tour. Aujourd’hui, j’accepte beaucoup plus volontiers de faire demi-tour, quand ça ne va pas. Ça ne vaut pas le coup. »
Il évoque aussi ses anecdotes et ses galères en montagne.
« À force de vouloir trop en faire, on devient moyen dans tous ces sports-là, parce qu'on ne peut pas être excellent partout quand on veut être décathloniens en montagne. Donc, on se heurte à une sorte de plafond dans la performance, dans chaque discipline. »
Dans cet épisode, Benjamin raconte :
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ Ses plus grandes fiertés : « Je suis fier de ce qui m’a vraiment construit… et ce n’est pas toujours les réussites qui m’ont fait grandir, en tant qu’homme et en tant qu’alpiniste. » ;
→ Ses prises de recul.
« Souvent, on retient les solos intégrals que j’ai réalisés. Pourtant, dans ces ascensions-là, la prise de risque était extrêmement calculée. En réalité, ce n’est pas forcément là où l’on pense qu’il y a le plus de risques qu’ils sont les plus grands…»
Le conseil de Benjamin : comprends d’où vient la genèse de ton projet. Quelles sont tes intentions ? Pourquoi tu veux faire ça ? Si ton intention n’est pas alignée avec toi-même, à un moment donné, dans la construction du projet, ça va bloquer.
Si cet épisode t’a plu, bonne nouvelle : la sortie du film sur l’expédition de Benjamin au K2 est prévue pour l’automne 2025.
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« Tu peux avoir une très bonne équipe sans un très bon projet. L’inverse, en revanche, n’est pas vrai. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Matthieu Chavanel, fondateur de Otelium, une société d’investissement et d’exploitation hôtelière nouvelle génération.
Matthieu revient sur son parcours jusqu’à la création d’Otelium : « Je crée ma structure en février 2020 dans l’hôtellerie, avec le meilleur timing du monde… parce qu’effectivement : Covid.» Il nous décrit les spécificités d’Otelium et comment il se différencie de la masse des fonds d’investissement.
Au micro, Matthieu évoque :
→ Les plus grandes difficultés qu’il a rencontrées et comment il les a surmontées : « Le Covid était une difficulté que je n’avais pas envisagée. Néanmoins, on a quand même réalisé de belles opérations. »
→ Sa définition du risque et son rapport au risque ;
→ Le plus gros risque qu’il ait pris : « Quitter cette position un peu confortable d’investisseur, futur partner dans un gros fonds d’investissement… et c’est sûrement la meilleure décision que j’ai prise dans ma vie. »
→ Sa plus grosse erreur ;
Matthieu partage également son mode d’emploi de l’association – très utile ! – pour détecter ou éviter une collaboration qui pourrait mal se passer :
« Assez naturellement, on se dirige souvent vers des gens qui nous ressemblent. Mais dans une association, il faut justement éviter cela. Il vaut mieux aller vers quelqu’un de différent, pour combiner des compétences variées et créer de la survaleur. »
Matthieu nous partage aussi ses conseils pour entreprendre, ses « must to read » et ses sources d’inspiration dans le milieu de l’hôtellerie et du tourisme, ainsi que sa vision sur les 10 prochaines années de l’industrie.
Conseil bonus de Matthieu :
> Privilégiez les petites équipes avec des top guns à chaque poste, plutôt que de grosses équipes lourdes à manœuvrer.
> Restez optimistes : les choses se résolvent bien plus facilement avec le sourire qu’en se lamentant !
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« J’ai envie de connaître l’expérience humaine de la façon la plus complète possible. C’est pour cela que je suis aussi ouverte aux sentiments douloureux qu’aux sentiments merveilleux, car je pense qu’ils sont intrinsèquement liés. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Domitile Kiger, co-championne du monde de parachutisme et conférencière.
Domitile nous parle des signes précurseurs de son enfance qui ont influencé sa carrière : « J’ai eu très jeune une envie d’indépendance. La première fois que je demande à mes parents de partir 1 mois en colonie de vacances, j’ai 7 ans. »
Elle revient sur les grandes étapes de son parcours professionnel : « Je fais mon premier saut à 15 ans. De 15 à 23 ans, je le pratique en loisir. Et à 23 ans je monte une équipe de Freefly. »
Le 5 décembre dernier, Domitile et 95 autres parachutistes ont battu un record du monde avec un message fort : « Faire passer un message de parité, d’égalité et de capacité à travailler main dans la main, même quand on est différent. »
À notre micro, elle nous parle de ce projet fou, des galères et des décisions complexes auxquelles ils ont dû faire face pour orchestrer un tel exploit.
« Pour que le record fonctionne, il faut que l’intégralité des 96 personnes soit connectée. Si une seule personne sur les 96 ne s’accroche pas correctement, ça ne compte pas et tout le monde doit recommencer. »
Elle partage également sa vision du risque et des plus grands risques qu’elle a pris et de la façon dont elle y a fait face : « Quand je mets dans la balance ce que ma vie de parachutiste et ma vie de conférencière m’apportent, même s’il y a des risques liés à ces choix, ce que j’en retire est tellement plus fort que ce que cela peut me coûter. »
Domitile nous raconte :
→ La plus grosse erreur qu’elle ait faite ;
→ Ce qui la fait tenir lorsque c’est difficile ;
→ Sa vision de l’avenir pour les 5 à 10 prochaines années ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné.
« Avoir cette intention-là, ce désir de vouloir que les autres aient du succès autant que toi, ça fait vraiment toute la différence. »
Avec + de 10 000 sauts à son actif, elle nous explique comment elle ressent aujourd’hui le stress, la peur et l’adrénaline et partage ses meilleurs conseils pour gérer le risque.
« Les symptômes avant de monter sur scène ou avant de sauter sont exactement les mêmes. »
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« Un risque, c’est la perte que tu es prêt à assumer si ça se passe mal. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Franck Gervais, CEO du groupe Pierre & Vacances - Center Parcs. Franck revient sur les signes précurseurs de son enfance qui ont influencé la tournure de sa carrière professionnelle.
À notre micro, Franck évoque les grandes étapes de sa carrière : « Il y a un point commun, c’est le secteur du transport, du tourisme et de l’hospitalité. » Il partage également les défis rencontrés lors de sa prise de fonction chez Center Parcs, en pleine crise du COVID.
« Nous consommions à ce moment-là 30 millions d’euros de trésorerie par mois. On avait une durée de vie limitée. Il a donc fallu prendre des décisions très lourdes, très tôt. C’est vraiment ce qui a marqué ma prise de fonction : j’ai dû enclencher une restructuration majeure. J’ai passé le plus clair de mon temps au tribunal de commerce, avec des avocats et des banquiers, à organiser la survie du groupe. »
Franck partage sa définition du risque et revient sur le plus gros risque qu’il a pris :« Le plus gros risque, c’est clairement ici, à la tête du groupe. J’arrive et on me demande de prendre des décisions très lourdes : combien d’endettement prendre ? Le groupe avait déjà 800 millions d’euros de dettes à mon arrivée, et j’en ai pris 300 millions de plus, soit 1,1 milliard. »
Franck nous raconte :
→ Où et comment il puise sa motivation lorsque c’est difficile ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ Ses plus grands accomplissements : « Je suis fier des réalisations collectives que nous avons pu accomplir. » ;
→ Son conseil bouquin : Les Ingénieurs du chaos de Giuliano da Empoli ;
→ L’évolution de l’industrie du tourisme ces 10 dernières années : « On est passé d’un tourisme consommateur, prédateur, "m’as-tu vu", à un tourisme beaucoup plus authentique, respectueux, local, basé sur les rencontres et qui a du sens. »
→ Sa vision du tourisme pour les 10 prochaines années : « Je pense que le tourisme va devenir beaucoup plus multi-domestique. »
Le conseil de Franck pour ceux qui ont peur de prendre des risques : « Avoir une démarche très analytique pour ne plus avoir peur du risque. » Et dans l’épisode, il nous explique comment la mettre en œuvre.
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« On ne peut pas avoir peur des choses qu'on ne peut pas contrôler ! »
Et c’est Chloé Léger qui nous le dit dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds. De la petite fille qui avait peur de descendre la marche d’un trottoir à celle qui s’apprête à traverser l’Atlantique à la nage, Chloé, co-fondatrice de Swim for Change, revient sur son parcours jusqu’à la création de cette initiative.
« On fait des aventures à la nage pour inspirer et parler d'écologie. »
À notre micro, Chloé nous raconte son nouveau projet complètement fou : « L’année prochaine, on se lance dans un gros projet : traverser l'Atlantique à la nage pour sensibiliser à la protection de l'océan et surtout pour amener ce sujet dans les écoles en créant du contenu pédagogique pour les enfants. »
Chloé partage comment, techniquement, ils vont réaliser ce projet et les principaux risques auxquels ils s’exposent.
« J’ai un Excel avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de lignes où tous ces risques sont répertoriés. À chaque fois, on écrit un protocole. On a à peu près 9 protocoles de sécurité qui définissent comment on réagit, qui prend les décisions et ce que cela implique. On essaie d’anticiper un maximum de risques pendant l’aventure et, bien sûr, de savoir les gérer. »
Chloé évoque :
→ Le meilleur (et le pire) conseil qu’on lui ait donné ;
→ Sa plus grosse erreur et ce qu’elle en retient : « Ne pas avoir mis ma santé en priorité dans le monde du travail. » ;
→ Comment elle vit le risque : « Everything happens for a reason. Dans tout ce qui se passe, il y a une raison derrière. » ;
→ Ce qu’elle sait avec une absolue certitude : « Je sais que je mange absolument beaucoup trop de chocolat. » ;
Le conseil Chloé pour tous ceux qui aimeraient se lancer dans une aventure un peu folle : « Créez-vous un filet de sécurité. C'est un exercice tout simple : il faut se poser et se dire ‘OK, combien de temps, combien d'argent et quelles ressources suis-je prêt(e) à investir dans ce projet ?’ Comme ça, on cadre un peu mieux le risque. »
Et pour tous ceux qui ne l’auraient pas encore vu, Chloé nous conseille vivement de regarder le film Young Woman and the Sea.
Ceux qui l’ont déjà vu, dites-nous en commentaire ce que vous en avez pensé.
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Un entrepreneur qui sort et un entrepreneur qui s'en sort !
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Thérèse Lemarchand, fondatrice de MAINPACES, un cabinet de coaching exécutif qui accompagne les dirigeants dans une approche globale.
« Une entreprise est toujours à l'image des personnes qui la dirigent. Et tant que ces personnes n'auront pas compris ce qu'est leur écologie personnelle, elles auront beaucoup de mal à être en écho avec les besoins de leurs collaborateurs et ceux du monde. »
Thérèse revient sur les grandes étapes de sa carrière professionnelle jusqu’à aujourd’hui : d’EDF à une galerie d’art contemporain à Singapour, en passant par la création d’entreprises.
« Depuis mes études d'ingénieur jusqu'à MAINPACES aujourd'hui je suis passée d'un regard technique à une expérience sensible, et cela a profondément modifié mon engagement au service de l'environnement. »
À notre micro, Thérèse partage :
→ La naissance de MAINPACES : « Je tournais autour du triptyque entrepreneuriat, innovation et impact. C'est-à-dire : comment puis-je avoir de l'impact en créant une entreprise innovante ? » ;
→ Sa vision du risque : « Tu ne prends pas un risque s'il n'y a pas un rêve derrière. » ;
→ Un souvenir marquant ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ Où elle puise sa motivation lorsqu’elle traverse des moments difficiles ;
→ Son travail avec de nombreux dirigeants d'entreprises et les schémas comportementaux qu’elle a pu identifier face aux risques auxquels ils sont exposés.
« Si l'on fait un parallèle entre les dirigeants et les sportifs de haut niveau, on remarque une grande différence : dans leurs programmes, il y a toujours des plages de récupération. Un sportif sait qu'il ne peut pas être au top de sa forme en permanence et que, s'il veut performer, il a besoin de temps de récupération. »
Thérèse nous partage également les conseils qu’elle donnerait à quelqu’un qui souhaite entreprendre et ce qu’elle sait avec une absolue certitude : « Dans un monde aussi fluctuant, nous avons impérativement besoin de racines profondes et de valeurs fortes pour être capables de prendre des décisions, de nous orienter et de tenir la barre, aussi bien dans nos vies que dans nos entreprises. »
Si le sujet du coaching génératif vous intéresse, vous pouvez approfondir avec le livre de Thérèse :
Rêver et Agir : Réflexions autour du Coaching Génératif.
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« Il faut toute une communauté pour qu'un entrepreneur réussisse. »
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir @Morgane Longo, co-fondatrice de Lib&Lou. 🧩
Morgane nous raconte les signes précurseurs dans son enfance de la tournure qu’a prise aujourd'hui sa carrière professionnelle : « Je voulais toujours tout savoir. J’avais besoin de comprendre. C'est-à-dire qu'on me disait quelque chose, je ne le prenais jamais pour argent comptant, il fallait que j'aille chercher ce qui se passe derrière. Et j’avais une passion pour les jeux d'enquête, les énigmes et donc la résolution de problèmes. »
À notre micro, Morgane évoque les grandes étapes de sa carrière et la bascule – sur une couleur de papier, oui vous avez bien lu – qui a fait passer Morgane de fonctionnaire à entrepreneuse et a conduit à la création de Lib&Lou.
Morgane revient sur :
→ Son acculturation au changement de statut professionnel ;
→ L’anecdote autour du lancement de Lib&Lou ;
→ Les plus grosses galères qu’elle a rencontrées : « Aujourd’hui, la plus grosse galère, c'est vraiment la galère de financement. Qui plus est, quand on est une femme venant du milieu du fonctionnariat, n'ayant pas fait les écoles qu'il faut ni le réseau qu'il faut, c'est encore plus difficile d'aller chercher des financements. » ;
→ Le meilleur conseil qu'on lui ait donné ;
→ Sa définition du risque et comment elle vit le risque.
« Je pense qu'on est en capacité de prendre des risques quand on se sent en sécurité malgré tout. »
Morgane partage sa vision pour les 5 à 10 prochaines années et ce qui la fait tenir lorsque c’est difficile : « Si t'as envie d'arrêter, t'arrêtes, mais il faut savoir pourquoi t'arrêtes. » Auteur : Alban, mari de Morgane.
Conseil bonus de Morgane :
Mettez-vous dans l’action, n’attendez pas que les événements se passent, parce que les événements ne se passent pas, mais provoquez-les !
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28 minutes qui pourraient changer beaucoup de choses pour toi !
Dans ce nouvel épisode d’Outdoor Minds, j’ai eu le plaisir de recevoir Adrien Colombié, serial entrepreneur & investisseur et, plus récemment, sage-femme, pour une véritable masterclass ! Un épisode qui pourrait te faire voir les choses différemment…
Dans cet épisode, Adrien revient sur son parcours : entre école de design, un tour du monde en sac à dos et la création d’une agence, jusqu’à la vente de cette agence 9 ans plus tard. Une décision prise à la suite d’un événement qu’il qualifie comme « la plus belle chose qui me soit arrivée ces 2 ou 3 dernières années. »
À notre micro, Adrien nous livre sa vision du risque et sa relation avec celui-ci. Les plus gros risques qu’il a pris et pourquoi il les a pris.
« Pendant 2 ou 3 ans, je me suis accroché à mon entreprise alors que je vibrais moins. Je me suis accroché à ça parce que ça m'apportait un statut, un salaire confortable, beaucoup de temps libre. Et donc, ma logique voulait que je continue, que je m’accroche. Finalement, je n’avais pas vu ce risque-là : le risque de ne plus être connecté avec ce qui me faisait vibrer. »
Adrien partage également :
→ Sa plus grosse erreur ;
→ Comment il puise sa motivation : « L’optimisme, c'est l’outil le plus puissant qu’on a dans les difficultés. » ;
→ Le meilleur conseil qu’on lui ait donné ;
→ Ce dont il est le plus fier ;
→ Ses recommandations de livres.
« On prend environ 35 000 décisions par jour. Moins d’1 % de ces décisions sont conscientes. Le reste est dicté par notre inconscient. Le vrai levier, c’est de travailler sur ce qui nous freine : nos peurs, nos croyances, notre vision du monde. Parce que c’est 99 % de nos décisions. »
Adrien nous raconte comment il envisage ces 10 prochaines années : « Je rentre dans un nouveau cycle où j’ai envie d’explorer, de jouer, de retrouver cette énergie. »Il nous donne une tonne de conseils et de pistes de réflexion. Voici 2 d’entre eux, et pour le reste, les liens d’écoute de l’épisode sont juste en dessous.
- Rester connecté à votre intuition, à vos envies.
- Il y a une chose qui est sûre : à la fin de la journée, le soleil va se coucher et on va se poser la question : qu’est-ce que j’ai fait de mon temps ?
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« Vendre des PowerPoint qui vont sur la lune, nous, on ne sait pas trop faire. »
Eux, ce qu’ils savent faire, c’est développer et coder – et ils le font très bien ! Alexandre Bouquet, co-fondateur de Nolio, est le nouvel invité d’Outdoor Minds. À notre micro, il nous parle de son parcours et de Nolio.
« On s'est dit qu'on allait faire quelque chose d’utile. »
Alexandre revient sur les grandes galères du début de la création de Nolio (adieu les dimanches soirs chill quand tu lances ta boîte) : « On n'a pas le choix, on va prendre nos téléphones, on va appeler des coachs qui ne nous connaissent pas. Ça, ce n'est pas facile, puisque du coup, tu ressens aussi un gros syndrome de l'imposteur, en mode : "Bah, je suis un vendeur de tapis." »
Alexandre nous partage :
→ Sa vision du risque : « Tu dois être prêt à perdre plus que ce que tu vas potentiellement gagner. » ;
→Comment il le vit au quotidien ;
→ Le plus gros risque qu’il a pris et pourquoi il l’a pris ;
→ Sa plus grosse erreur dans le cadre de Nolio et ce qu’il en retient : « Ne pas assez s’écouter ! » ;
→ Ses grandes satisfactions.
« Quand tu as commencé dans ta chambre, à faire tes lignes de code comme un fou, tu te dis : si un jour, déjà 30 coachs l'utilisent, c'est incroyable. Et puis après, tu vas encore plus loin et tu vois des fédérations, des athlètes olympiques préparer les Jeux avec ta solution… C’est une grande fierté. »
Conseils bonus d’Alexandre :
- Lance-toi le plus tôt possible : le meilleur business plan reste le terrain !
- N’écoute pas trop les conseils : forge-toi ta propre opinion et vas-y. Et si tu fais des erreurs, c'est là que tu apprendras et que tu pourras vraiment avancer.
- Les levées de fonds ne sont pas une fin en soi, écoute-toi !
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