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Gregory Pouy

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[SOLO] Pourquoi le temps nous échappe et comment le récupérer?
46 min • 13/11/2025

Détails

Dans ce nouvel épisode solo (ma newsletter d'ou est tiré le texte) une réflexion profondément personnelle sur un phénomène que nous ressentons toutes et tous : l'accélération du temps.
On a jamais été aussi optimisé et on a jamais eu aussi peu de temps, comment c'est possible?

Depuis des années, je suis obsédé par cette impression que le temps file entre nos doigts, malgré toutes les optimisations et technologies censées nous en faire gagner.
Déjà en 2000, je consacrais mon mémoire de fin d'études au "temps, facteur clef du succès du 21e siècle". Aujourd’hui, cette question n’a jamais été aussi brûlante.

Dans cet épisode, je plonge dans une analyse nourrie de lectures puissantes comme celles de Hartmut Rosa, Byung-Chul Han ou Jonathan Crary, pour comprendre pourquoi, alors que tout va plus vite, nous avons de moins en moins de temps.
J’interroge la logique d’un système qui nous pousse à l’hyper-productivité, à la performance constante, jusqu’à nous priver de notre capacité à ressentir, contempler, ou même simplement… vivre.

J’ai voulu prendre le temps (ironiquement) d'explorer cette aliénation moderne pour voir comment nous pourrions, peut-être, retrouver un autre rapport au temps — plus humain, plus incarné, plus libre.


5 citations marquantes

  1. « Nous sommes collectivement victimes du plus grand vol de l'histoire : celui de notre temps. »
  2. « L'accélération qui devait nous libérer est devenue notre prison. »
  3. « Dans un monde où la valeur d’un individu se mesure à sa productivité, ralentir revient à disparaître. »
  4. « La vraie résonance exige que nous acceptions la finitude – la nôtre et celle du monde. »
  5. « Ce n’est pas que nous ayons peu de temps, c’est que nous en perdons beaucoup. »

10 questions structurées posées dans l’analyse

  1. Qui bénéficie réellement de cette accélération permanente ?
  2. Qu’est-ce qui se passerait si nous ralentissions collectivement ?
  3. L’accélération est-elle un accident de l’histoire ou une stratégie systémique ?
  4. Comment nos technologies transforment-elles notre rapport au temps ?
  5. Pourquoi sommes-nous toujours plus stressés malgré nos outils d’optimisation ?
  6. Comment la culture de la performance nous pousse-t-elle à l’auto-exploitation ?
  7. Que devient la création humaine face à l’instantanéité de l’IA ?
  8. Comment retrouver une expérience qualitative du temps ?
  9. La friction est-elle vraiment un mal à supprimer ?
  10. Une révolution de la temporalité est-elle possible ?

Timestamps clés pour YouTube

  • 00:00 – Introduction : pourquoi le temps nous échappe-t-il ?
  • 03:45 – Qui profite vraiment de l’accélération ?
  • 08:30 – Hartmut Rosa : l’accélération comme principe structurant
  • 14:20 – Trois formes d’accélération : technique, sociale, subjective
  • 21:10 – Le cercle vicieux de la vitesse : entre économie et aliénation
  • 26:40 – L’effet Reine Rouge : courir pour rester sur place
  • 32:15 – La dictature de l’instant selon Byung-Chul Han
  • 38:00 – L’IA : dernière étape de l’accélération ?
  • 44:05 – Retrouver le kairos : le temps vécu contre le temps optimisé
  • 50:30 – Vers une révolution de la temporalité

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#370 Comment le numérique redéfinit la souverainté, la pensée et le pouvoir avec Gilles Babinet (partie 2) cover placeholder
#370 Comment le numérique redéfinit la souverainté, la pensée et le pouvoir avec Gilles Babinet (partie 2)
38 min • 11/11/2025

Détails

Gilles Babinet, multi-entrepreneur, président de Café IA et ancien président du Conseil National du Numérique, est une figure incontournable pour décrypter les enjeux numériques européens.

J’ai la chance de connaître Gilles depuis près de 15 ans et, à chaque conversation, je suis toujours frappé par la richesse de sa pensée et la profondeur de ses analyses.

Il a ce talent rare de rendre limpide des sujets complexes, sans jamais céder à la facilité ni au sensationnalisme.

Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans une réflexion aussi essentielle qu’urgente : celle de la souveraineté numérique. En tant qu’Européens, nous utilisons massivement des services américains ou chinois – des réseaux sociaux à l’IA en passant par le cloud – sans toujours saisir les implications profondes que cela entraîne sur notre liberté de penser, notre démocratie et notre modèle de société.

J’ai questionné Gilles sur des sujets qui me tiennent à cœur : la domination des plateformes, le rôle des IA génératives dans la manipulation de l’opinion, le techno-féodalisme, l’inaction européenne, mais aussi les possibles voies de résistance.

Nous avons parlé des alternatives européennes, de la culture du risque, de la productivité réelle de l’IA mais également du paradoxe de Solow.

C’est un épisode dense, sans concession, mais qui propose aussi des pistes de solutions concrètes.

Parce qu’il ne s’agit pas seulement de critiquer, mais de reprendre le contrôle de notre destin technologique. Bonne écoute !

5 citations marquantes

  1. “La technologie est le nerf invisible de la puissance.”
  2. “Si on ne fait rien, l’Europe disparaîtra en tant qu’acteur numérique.”
  3. “Les réseaux sociaux nous contaminent avec la vision du monde de leurs créateurs.”
  4. “L’IA n’est pas neutre, elle a une induction programmée.”
  5. “Faire, même crado, vaut mieux qu’un rêve parfait.”

10 questions posées pendant l’interview

  1. Pourquoi l’Europe a-t-elle perdu la course au numérique ?
  2. Qu’est-ce que la souveraineté numérique, concrètement ?
  3. Comment les réseaux sociaux influencent-ils nos démocraties ?
  4. En quoi l’IA aggrave-t-elle ces enjeux ?
  5. Peut-on encore construire des alternatives européennes crédibles ?
  6. Que révèle le cas Spotify sur nos usages numériques ?
  7. Pourquoi les médias deviennent-ils eux aussi “putaclic” ?
  8. Comment développer une culture numérique populaire en Europe ?
  9. Quel est l’impact réel de l’IA sur la productivité ?
  10. L’IA va-t-elle vraiment remplacer massivement les emplois ?

Timestamps clés

  • 00:00 – Introduction sur la vassalisation numérique de l’Europe
  • 02:15 – Le parcours atypique de Gilles Babinet, autodidacte
  • 04:00 – Qu’est-ce que la souveraineté numérique ?
  • 08:30 – Trump, Microsoft et les risques de dépendance géopolitique
  • 13:30 – L’impact cognitif des réseaux sociaux
  • 17:30 – Peut-on concilier démocratie et IA ?
  • 20:00 – TikTok et la manipulation électorale
  • 24:00 – Le paradoxe de nos choix technologiques (cloud, IA)
  • 29:00 – Pourquoi l’Europe n’a pas de champions numériques ?
  • 34:00 – IA et productivité : déconstruire les fantasmes
  • 42:00 – L’Europe : autostoppeur ou puissance d’avenir ?

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#370 Comment le numérique redéfinit la souverrainté, la pensée et le pouvoir avec Gilles Babinet (partie 1) cover placeholder
#370 Comment le numérique redéfinit la souverrainté, la pensée et le pouvoir avec Gilles Babinet (partie 1)
35 min • 11/11/2025

Détails

Gilles Babinet, multi-entrepreneur, président de Café IA et ancien président du Conseil National du Numérique, est une figure incontournable pour décrypter les enjeux numériques européens.

J’ai la chance de connaître Gilles depuis près de 15 ans et, à chaque conversation, je suis toujours frappé par la richesse de sa pensée et la profondeur de ses analyses.

Il a ce talent rare de rendre limpide des sujets complexes, sans jamais céder à la facilité ni au sensationnalisme.

Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans une réflexion aussi essentielle qu’urgente : celle de la souveraineté numérique. En tant qu’Européens, nous utilisons massivement des services américains ou chinois – des réseaux sociaux à l’IA en passant par le cloud – sans toujours saisir les implications profondes que cela entraîne sur notre liberté de penser, notre démocratie et notre modèle de société.

J’ai questionné Gilles sur des sujets qui me tiennent à cœur : la domination des plateformes, le rôle des IA génératives dans la manipulation de l’opinion, le techno-féodalisme, l’inaction européenne, mais aussi les possibles voies de résistance.

Nous avons parlé des alternatives européennes, de la culture du risque, de la productivité réelle de l’IA mais également du paradoxe de Solow.

C’est un épisode dense, sans concession, mais qui propose aussi des pistes de solutions concrètes.

Parce qu’il ne s’agit pas seulement de critiquer, mais de reprendre le contrôle de notre destin technologique. Bonne écoute !

5 citations marquantes

  1. “La technologie est le nerf invisible de la puissance.”
  2. “Si on ne fait rien, l’Europe disparaîtra en tant qu’acteur numérique.”
  3. “Les réseaux sociaux nous contaminent avec la vision du monde de leurs créateurs.”
  4. “L’IA n’est pas neutre, elle a une induction programmée.”
  5. “Faire, même crado, vaut mieux qu’un rêve parfait.”

10 questions posées pendant l’interview

  1. Pourquoi l’Europe a-t-elle perdu la course au numérique ?
  2. Qu’est-ce que la souveraineté numérique, concrètement ?
  3. Comment les réseaux sociaux influencent-ils nos démocraties ?
  4. En quoi l’IA aggrave-t-elle ces enjeux ?
  5. Peut-on encore construire des alternatives européennes crédibles ?
  6. Que révèle le cas Spotify sur nos usages numériques ?
  7. Pourquoi les médias deviennent-ils eux aussi “putaclic” ?
  8. Comment développer une culture numérique populaire en Europe ?
  9. Quel est l’impact réel de l’IA sur la productivité ?
  10. L’IA va-t-elle vraiment remplacer massivement les emplois ?

Timestamps clés

  • 00:00 – Introduction sur la vassalisation numérique de l’Europe
  • 02:15 – Le parcours atypique de Gilles Babinet, autodidacte
  • 04:00 – Qu’est-ce que la souveraineté numérique ?
  • 08:30 – Trump, Microsoft et les risques de dépendance géopolitique
  • 13:30 – L’impact cognitif des réseaux sociaux
  • 17:30 – Peut-on concilier démocratie et IA ?
  • 20:00 – TikTok et la manipulation électorale
  • 24:00 – Le paradoxe de nos choix technologiques (cloud, IA)
  • 29:00 – Pourquoi l’Europe n’a pas de champions numériques ?
  • 34:00 – IA et productivité : déconstruire les fantasmes
  • 42:00 – L’Europe : autostoppeur ou puissance d’avenir ?

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[MOMENT] Pourquoi refuse-t-on  d’être médiocres ? avec Guillaume Meurice cover placeholder
[MOMENT] Pourquoi refuse-t-on d’être médiocres ? avec Guillaume Meurice
9 min • 06/11/2025

Détails

Guillaume Meurice, humoriste, chroniqueur pour Radio Nova était mon invité il y a 2 ans et j'avais adoré le recevoir.
Cet épisode était à la fois drôle, lucide et profondément humain et c'est pourquoi je vous propose de réécouter un moment (le debut) de cette conversation.

J’avais invité Guillaume pour parler de son dernier livre consacré à un sujet aussi étonnant que provocateur : la médiocrité.
Un thème qu’il embrasse non pas comme une résignation mais comme une forme de lucidité sur notre condition humaine.

Dans cet épisode, nous parlons de l’illusion de la supériorité humaine, de la compétition imposée dès l’école, de la validation sociale sur les réseaux, ou encore de ce que révèle vraiment le phénomène Hanouna.

J’ai questionné Guillaume sur sa vision de l’humain comme animal médiocre, sur les termites, les lions, les chats... et surtout, sur notre incapacité collective à reconnaître nos limites. Avec beaucoup d’humour, il démonte les injonctions à la réussite, tout en affirmant qu’en mettant nos médiocrités en commun, on peut faire émerger de belles choses.


5 citations marquantes

  1. « La médiocrité, c’est un chemin vers la lucidité. »
  2. « On est tous des animaux un peu chelous dans un système chaotique. »
  3. « L’entraide à l’école est vue comme de la triche, alors que dans la vie, c’est fondamental. »
  4. « Ce n’est pas Hanouna le problème, c’est la structure qui permet Hanouna. »
  5. « Les réseaux sociaux rendent la validation sociale encore plus perverse, parce qu’elle est quantifiée. »

10 questions structurées posées

  1. Est-ce que la médiocrité est le meilleur chemin vers le bonheur ?
  2. Pourquoi mettre nos médiocrités en commun serait une force ?
  3. L’être humain est-il un animal médiocre ?
  4. Pourquoi l’humain se pense-t-il au sommet de la hiérarchie ?
  5. Les termites sont-ils plus intelligents que les humains ?
  6. Pourquoi les animaux semblent-ils mieux gérer leur écosystème que nous ?
  7. Pourquoi a-t-on autant de mal à accepter notre médiocrité ?
  8. Quel est l’impact de la structure sociale sur notre perception de nous-mêmes ?
  9. Que penses-tu de la validation sociale sur les réseaux ?
  10. Que penses-tu de la diatribe d’Hanouna contre le service public ?

Timestamps clés pour YouTube

  • 00:00 – Introduction : médiocrité et bonheur
  • 00:45 – Lucidité collective et entraide
  • 01:35 – Supériorité humaine : un mythe ?
  • 02:25 – Les termites et l’intelligence collective
  • 03:49 – L’humain, pas si parfait : retour à l’humilité
  • 04:25 – Pourquoi on nie notre médiocrité ?
  • 05:57 – Les ultra-riches : vraiment gagnants ?
  • 06:05 – Réseaux sociaux : validation et perversion
  • 07:35 – Le cas Hanouna et la structure médiatique
  • 08:30 – Capitalisme, audience et absurdité du système

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L'individualisme nous tue-t-il  a petit feu?  partie 2 avec Hugo Paul cover placeholder
L'individualisme nous tue-t-il a petit feu? partie 2 avec Hugo Paul
46 min • 04/11/2025

Détails

Hugo Paul, ingénieur de formation et auteur du livre Faire Tribu, fait partie de cette jeune génération qui ne se contente pas de constater les crises de notre époque — écologiques, sociales, relationnelles — mais qui choisit d’expérimenter des réponses concrètes.
J'étais hyper content de rencontrer Hugo car le vivre ensemble, les communautés est un sujet qui me trotte depuis un moment dans la tête (vous le savez si vous m'écoutez régulièrement).
Et Hugo, plutôt que d’attendre une solution extérieure, il a décidé de se mettre en marche, littéralement. Pendant un an, il est parti vivre dans différentes communautés à travers l’Europe — des monastères, des écoles alternatives, des peuples autochtones, des habitats partagés — pour comprendre en profondeur ce que signifie faire ensemble.

Dans cet épisode, nous avons parlé d’un sujet fondamental pour moi : la communauté. J’ai toujours été convaincu que la famille nucléaire telle qu’on la connaît aujourd’hui est une aberration historique, une construction sociale très récente qui nous isole plus qu’elle ne nous relie. Et c’est précisément ce que Hugo est allé questionner sur le terrain : pourquoi avons-nous perdu cette capacité à vivre collectivement ? Et surtout, comment la réapprendre ?

Hugo partage avec une clarté étonnante — et beaucoup de douceur — ce qu’il a découvert : que nous sommes faits pour le lien, que notre bonheur dépend de notre capacité à créer des relations authentiques, que la coopération est une compétence qu’il faut réapprendre. Il nous parle de la solitude, du care, des rites de passage qui structurent une vie, du rôle de la religion comme créateur de sens collectif, mais aussi des contradictions profondes qu’il a vécues — notamment celle d’écrire seul un livre sur le collectif.

J’ai adoré sa capacité à parler avec humilité de son cheminement, à mettre des mots sur des intuitions que nous sommes nombreux à ressentir sans forcément réussir à les formuler. Nous avons aussi abordé des sujets plus intimes : la masculinité, le rapport à l’ego, le besoin d’être aimé pour ce que l’on est vraiment, pas seulement pour ce qu’on projette.

Ce que j’ai trouvé particulièrement inspirant, c’est qu’Hugo ne donne pas de leçon. Il partage son vécu, ses apprentissages, ses doutes. Il n’est pas dans une posture de savoir, mais dans celle du chemin. Et c’est cette posture-là qui, à mon sens, fait toute la différence aujourd’hui. Il ne s’agit pas de trouver un modèle unique de communauté, mais de s’autoriser à expérimenter d’autres manières de vivre ensemble, à remettre du lien là où l’individualisme a tout fragmenté.

Dans un monde en quête de repères, son témoignage est une bouffée d’oxygène. Et peut-être, une boussole précieuse pour nous aider à réinventer le vivre-ensemble.


5 citations marquantes

  1. « Faire du lien, être en relation, c’est tout sauf de l’efficacité. C’est de la fécondité. »
  2. « On ne peut pas se connecter à l’autre si on n’est pas connecté à soi. »
  3. « L’homme n’est pas un loup pour l’homme. L’homme est un loup... pour sa meute. »
  4. « Toute grande chose s’est toujours faite à plusieurs. »
  5. « La solitude a le même impact sur la santé que fumer 15 cigarettes par jour. »

10 questions structurées

  1. Qu’est-ce qui t’a amené à t’intéresser aux communautés ?
  2. Pourquoi as-tu décidé d’écrire un livre à partir de ton expérience ?
  3. Que t’ont appris tes engagements précédents en lien avec l’écologie ?
  4. Comment as-tu choisi les communautés dans lesquelles tu es allé ?
  5. Quel est selon toi le rôle de la religion dans la création de communauté ?
  6. Que signifie pour toi « passer de l’efficacité à la fécondité » ?
  7. Que penses-tu des contradictions dans notre parcours personnel ?
  8. En quoi les rites de passage sont-ils importants ?
  9. As-tu observé des doutes chez les moines que tu as côtoyés ?
  10. Comment travailles-tu ta relation à l’ego ?

Timestamps clés

  • 00:00 - Introduction de Grégory : Pourquoi vivre en communauté ?
  • 02:00 - Le parcours d’Hugo et ses engagements écologiques
  • 07:00 - La société individualiste et ses limites
  • 12:00 - La coopération comme clé du bonheur
  • 18:00 - Le rôle de la religion dans les communautés
  • 24:00 - Contradictions personnelles et cheminement
  • 29:00 - Les rites de passage : repères nécessaires
  • 34:00 - Masculinité, cercles d’hommes et transformation
  • 40:00 - L’ego et le besoin d’être aimé tel que l’on est
  • 47:00 - L’irénisme : ce qui nous rassemble
  • 50:00 - Les Samis, dernier peuple autochtone d’Europe

Lire la suite

L'individualisme nous tue-t-il  a petit feu?  partie 1 avec Hugo Paul cover placeholder
L'individualisme nous tue-t-il a petit feu? partie 1 avec Hugo Paul
47 min • 04/11/2025

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Hugo Paul, ingénieur de formation et auteur du livre Faire Tribu, fait partie de cette jeune génération qui ne se contente pas de constater les crises de notre époque — écologiques, sociales, relationnelles — mais qui choisit d’expérimenter des réponses concrètes.
J'étais hyper content de rencontrer Hugo car le vivre ensemble, les communautés est un sujet qui me trotte depuis un moment dans la tête (vous le savez si vous m'écoutez régulièrement).
Et Hugo, plutôt que d’attendre une solution extérieure, il a décidé de se mettre en marche, littéralement. Pendant un an, il est parti vivre dans différentes communautés à travers l’Europe — des monastères, des écoles alternatives, des peuples autochtones, des habitats partagés — pour comprendre en profondeur ce que signifie faire ensemble.

Dans cet épisode, nous avons parlé d’un sujet fondamental pour moi : la communauté. J’ai toujours été convaincu que la famille nucléaire telle qu’on la connaît aujourd’hui est une aberration historique, une construction sociale très récente qui nous isole plus qu’elle ne nous relie. Et c’est précisément ce que Hugo est allé questionner sur le terrain : pourquoi avons-nous perdu cette capacité à vivre collectivement ? Et surtout, comment la réapprendre ?

Hugo partage avec une clarté étonnante — et beaucoup de douceur — ce qu’il a découvert : que nous sommes faits pour le lien, que notre bonheur dépend de notre capacité à créer des relations authentiques, que la coopération est une compétence qu’il faut réapprendre. Il nous parle de la solitude, du care, des rites de passage qui structurent une vie, du rôle de la religion comme créateur de sens collectif, mais aussi des contradictions profondes qu’il a vécues — notamment celle d’écrire seul un livre sur le collectif.

J’ai adoré sa capacité à parler avec humilité de son cheminement, à mettre des mots sur des intuitions que nous sommes nombreux à ressentir sans forcément réussir à les formuler. Nous avons aussi abordé des sujets plus intimes : la masculinité, le rapport à l’ego, le besoin d’être aimé pour ce que l’on est vraiment, pas seulement pour ce qu’on projette.

Ce que j’ai trouvé particulièrement inspirant, c’est qu’Hugo ne donne pas de leçon. Il partage son vécu, ses apprentissages, ses doutes. Il n’est pas dans une posture de savoir, mais dans celle du chemin. Et c’est cette posture-là qui, à mon sens, fait toute la différence aujourd’hui. Il ne s’agit pas de trouver un modèle unique de communauté, mais de s’autoriser à expérimenter d’autres manières de vivre ensemble, à remettre du lien là où l’individualisme a tout fragmenté.

Dans un monde en quête de repères, son témoignage est une bouffée d’oxygène. Et peut-être, une boussole précieuse pour nous aider à réinventer le vivre-ensemble.


5 citations marquantes

  1. « Faire du lien, être en relation, c’est tout sauf de l’efficacité. C’est de la fécondité. »
  2. « On ne peut pas se connecter à l’autre si on n’est pas connecté à soi. »
  3. « L’homme n’est pas un loup pour l’homme. L’homme est un loup... pour sa meute. »
  4. « Toute grande chose s’est toujours faite à plusieurs. »
  5. « La solitude a le même impact sur la santé que fumer 15 cigarettes par jour. »

10 questions structurées

  1. Qu’est-ce qui t’a amené à t’intéresser aux communautés ?
  2. Pourquoi as-tu décidé d’écrire un livre à partir de ton expérience ?
  3. Que t’ont appris tes engagements précédents en lien avec l’écologie ?
  4. Comment as-tu choisi les communautés dans lesquelles tu es allé ?
  5. Quel est selon toi le rôle de la religion dans la création de communauté ?
  6. Que signifie pour toi « passer de l’efficacité à la fécondité » ?
  7. Que penses-tu des contradictions dans notre parcours personnel ?
  8. En quoi les rites de passage sont-ils importants ?
  9. As-tu observé des doutes chez les moines que tu as côtoyés ?
  10. Comment travailles-tu ta relation à l’ego ?

Timestamps clés

  • 00:00 - Introduction de Grégory : Pourquoi vivre en communauté ?
  • 02:00 - Le parcours d’Hugo et ses engagements écologiques
  • 07:00 - La société individualiste et ses limites
  • 12:00 - La coopération comme clé du bonheur
  • 18:00 - Le rôle de la religion dans les communautés
  • 24:00 - Contradictions personnelles et cheminement
  • 29:00 - Les rites de passage : repères nécessaires
  • 34:00 - Masculinité, cercles d’hommes et transformation
  • 40:00 - L’ego et le besoin d’être aimé tel que l’on est
  • 47:00 - L’irénisme : ce qui nous rassemble
  • 50:00 - Les Samis, dernier peuple autochtone d’Europe

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[SOLO] Penser contre soi-même: un acte radical?  cover placeholder
[SOLO] Penser contre soi-même: un acte radical?
31 min • 30/10/2025

Détails

Dans cet épisode solo, je vous lis ma newsletter (abonnez-vous ici) qui touche à un sujet à la fois personnel, politique et profondément humain : la capacité à penser contre soi-même.

Je vous parle ici sans filtre, comme je le ferais à un ami proche. Ce texte est né d’un inconfort, d’une réflexion sur mes propres biais et sur notre incapacité collective à dialoguer sereinement. J’ai moi-même été tenté par la facilité de la disqualification, du blocage, de l’entre-soi idéologique. Et pourtant, j’en suis venu à cette conclusion difficile : notre démocratie ne survivra pas sans une forme de radicalité inversée – celle de l’écoute, du doute, de l’alliance improbable.

Dans cet épisode, je m’interroge : pourquoi ne supportons-nous plus la contradiction ? Quel est le prix à payer pour préserver l’espace du désaccord ? Pourquoi devons-nous parfois désobéir à nos propres convictions pour défendre le bien commun ?

C’est un épisode inconfortable, mais je crois essentiel. Parce que penser contre soi-même, c’est peut-être le seul moyen qu’il nous reste pour sauver notre capacité à vivre ensemble.


5 citations marquantes

  1. "Nous sommes devenus les idiots utiles d’un système qui prospère sur notre division."
  2. "Le vrai clivage n’est plus entre gauche et droite, mais entre démocrates et autocrates."
  3. "Penser contre soi-même, c’est refuser le confort de la cohérence narrative."
  4. "Nous avons tous des angles morts, et la démocratie commence par les reconnaître."
  5. "La démocratie n’est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité."

10 questions structurées posées dans l’épisode

  1. A quel sacrifice seriez-vous prêt pour sauver la démocratie ?
  2. Avez-vous déjà rompu une amitié à cause d’un désaccord politique ?
  3. Pourquoi est-il devenu si difficile de dialoguer avec ceux qui ne pensent pas comme nous ?
  4. Le clivage gauche/droite est-il encore pertinent ?
  5. Que signifie véritablement "penser contre soi-même" ?
  6. Pourquoi est-il crucial d’écouter les arguments des personnes avec qui nous sommes en désaccord ?
  7. Pouvons-nous encore faire confiance à nos institutions démocratiques ?
  8. Comment l’autoritarisme s’installe-t-il progressivement dans une société ?
  9. Quelle est notre responsabilité individuelle dans la préservation de la démocratie ?
  10. Peut-on vraiment dialoguer sans chercher à convaincre ?

Timestamps clés optimisés

  • 00:00 – Introduction : pourquoi ce solo et pourquoi ce thème
  • 02:30 – Le prix de nos désaccords : quand la démocratie vacille
  • 06:45 – L’illusion de la supériorité morale : mon propre piège
  • 11:10 – L’état de la démocratie en France (et ailleurs)
  • 16:20 – Kasparov, Juppé, Meurice : quand les alliances improbables deviennent nécessaires
  • 20:55 – Le rôle central de la justice et de l’écoute active
  • 26:00 – Pourquoi "penser contre soi-même" est devenu vital
  • 30:15 – Biais cognitifs, héritages culturels et autodérision
  • 34:45 – Exemples pratiques pour cultiver la pensée critique
  • 39:20 – Conclusion : sauver l’arène du débat avant nos idées

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#368 Un juge face aux fractures françaises avec Youssef Badr cover placeholder
#368 Un juge face aux fractures françaises avec Youssef Badr
1 h 6 min • 28/10/2025

Détails

Youssef Badr est juge à Bobigny, ancien porte-parole du ministère de la Justice, et auteur du livre Pour une justice aux mille visages.

Youssef est le frère de mon amie Requia mais il a surtout été beaucoup invité par les médias ces derniers mois.
Tout simplement parce qu'il possède cette intelligence fine, cette lucidité sans aigreur, et cette capacité à mettre des mots justes sur des réalités sociales qu’on peine parfois à nommer.

Dans cet épisode, on a parlé de transclasse, de solitude, de l’école qui n’accueille pas tout le monde de la même manière, de racisme, et bien sûr, de justice. Pas celle qu’on voit dans les séries, mais celle qu’on rend tous les jours, dans les tribunaux, face à des vies cabossées, souvent invisibles.

Ce qui m’a touché chez Youssef, c’est sa manière d’incarner ce métier avec exigence, mais aussi avec humanité. Il a traversé des chemins que beaucoup n’imaginent même pas. Et son livre, très fort, est un appel à une justice plus représentative, plus incarnée, plus équitable.

J’ai voulu comprendre ce que cela change de juger quand on vient soi-même d’un milieu populaire. Est-ce qu’on juge différemment ? Est-ce qu’on ressent un poids plus lourd sur les épaules ? On a aussi discuté de l’état de la justice aujourd’hui, de ses limites, du manque de moyens, de la surpopulation carcérale, et de ce que signifie, profondément, “rendre la justice”.

Un épisode riche, engagé, sans langue de bois, où on parle autant de système que d’intime. Un échange que je suis fier de vous partager.


5 citations marquantes

  1. “La première des injustices, c’est celle de l’information.”
  2. “On ne peut pas rêver de devenir juge quand on ne sait même pas que ce métier existe.”
  3. “Il faut arrêter de dire ‘quand on veut on peut’ à des jeunes qui vivent à six dans 40m².”
  4. “Il n’y a pas de monstres en prison, il y a des gens qui ont fait des choses monstrueuses.”
  5. “Je suis juge, pas militant. Je rends la justice, je ne la commente pas.”

10 questions structurées posées dans l’interview

  1. Pourquoi avez-vous commencé votre livre par le thème de la solitude ?
  2. Est-ce que la solitude est plus forte quand on est transclasse ?
  3. Qui vous a aidé à franchir les étapes dans votre parcours ?
  4. Est-ce que votre famille comprenait ce que vous faisiez ?
  5. Qu’est-ce qui vous a donné envie de devenir juge ?
  6. À quoi ressemble aujourd’hui la magistrature ?
  7. Est-ce que la justice française est représentative de sa population ?
  8. Est-ce que la justice a un rôle à jouer dans l’égalité des chances ?
  9. Que répondez-vous à ceux qui parlent d’un système “trop à gauche” ?
  10. Est-ce que vous avez parfois l’impression d’être jugé plus sévèrement à cause de votre origine sociale ou ethnique ?

Timestamps clés (optimisés pour YouTube)

  • 00:00 – Introduction et présentation de Youssef Bader
  • 02:00 – La solitude dans le parcours de transclasse
  • 04:30 – Le rôle des professeurs, entre soutien et abandon
  • 07:00 – L’importance de la famille malgré l’incompréhension
  • 12:00 – Comment l’idée de devenir juge a émergé
  • 17:00 – Les limites de l’école face à l’égalité des chances
  • 24:00 – Le racisme systémique dans le système éducatif
  • 29:00 – L’état critique de la justice aujourd’hui
  • 35:00 – Pour qui Youssef a-t-il écrit son livre ?
  • 44:00 – Surpopulation carcérale et alternatives à la prison
  • 52:00 – La justice a-t-elle un rôle dans l’égalité des chances ?

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[MOMENT LES + ECOUTES] La vérité choquante sur votre âge réél avec Christophe de Jaeger
10 min • 23/10/2025

Détails

Christophe de Jaeger, médecin physiologiste, est l’un des rares spécialistes français à s’intéresser à la sénescence sous toutes ses formes. Il est aussi auteur de plusieurs ouvrages sur la longévité.
Ceci est un moment dans une interview dont je vous mets le lien plus bas.

Dans cet épisode, je vous partage un extrait marquant d’un entretien avec lui, un moment de lucidité brutale qui m’a personnellement beaucoup fait réfléchir. On y parle de l’âge réel, pas celui inscrit sur votre carte d’identité, mais celui de vos artères, de votre cerveau, de votre peau, de votre ressenti.

J’ai questionné Christophe sur les différences fondamentales entre l’âge chronologique, physiologique, ressenti et cérébral. Et croyez-moi, on prend une vraie claque. Il explique pourquoi certains ont 70 ans mais semblent en avoir 50, quand d’autres sont déjà "vieux" à 45.

Il démonte aussi les illusions liées à la chirurgie esthétique, cette tentation rapide et dangereuse de tricher avec le temps, tout en nous offrant une piste concrète : retrouver un corps plus jeune est possible, mais demande de la méthode, du suivi, et surtout… d’arrêter de croire aux miracles.


5 CITATIONS MARQUANTES

  1. "On a l’âge de ses artères, et c’est juste."
  2. "À 50 ans, votre cerveau croit encore que vous en avez 20."
  3. "La chirurgie esthétique, c’est repeindre une vieille voiture déglinguée."
  4. "L’âge physiologique peut s’améliorer, contrairement à l’âge chronologique."
  5. "À 70 ans, vous pouvez être plus jeune qu’à 50, si vous faites les bons choix."

10 QUESTIONS STRUCTURÉES POSÉES DANS L’INTERVIEW

  1. Quels sont les différents types d’âges que vous distinguez dans votre livre ?
  2. L’apparence peut-elle réellement tromper notre perception de la longévité ?
  3. Pourquoi l’âge chronologique est-il une mesure inadaptée de notre état de santé ?
  4. Comment mesure-t-on l’âge physiologique d’un individu ?
  5. Quel rôle jouent nos artères dans l’évaluation de notre vieillissement ?
  6. Est-il possible de rajeunir physiologiquement ? Si oui, comment ?
  7. Quelle est la part de génétique vs. environnement dans le vieillissement ?
  8. En quoi l’âge ressenti peut-il nous induire en erreur ?
  9. Que pensez-vous de la chirurgie esthétique comme solution au vieillissement ?
  10. Peut-on réellement vivre vieux et heureux sans se mentir sur son état réel ?

TIMESTAMPS CLÉS

  • 00:00 – Introduction par Greg : pourquoi cet extrait m’a marqué
  • 00:48 – L’âge physiologique, une réalité mesurable
  • 02:00 – Golf et vieillissement : le corps parle avant la date de naissance
  • 03:40 – L’état de vos artères = votre vrai âge
  • 04:10 – L’âge physiologique peut rajeunir… avec effort
  • 06:00 – Le cerveau nous ment : il croit encore avoir 20 ans
  • 07:53 – L’intérieur prime sur l’extérieur : la peau reflète la santé
  • 08:33 – Chirurgie esthétique : fausse jeunesse, vraie illusion
  • 09:24 – Les réserves vitales diminuent, mais on peut rester heureux

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#367 Où fera-t-il bon vivre en France dans 10 ans ? Partie 2) avec Priscille Beguin cover placeholder
#367 Où fera-t-il bon vivre en France dans 10 ans ? Partie 2) avec Priscille Beguin
39 min • 21/10/2025

Détails

Priscille Béguin, présidente de Climera, est mon invitée dans cet épisode de Vlan. Hydrolyticienne de formation, Priscille analyse le risque climatique à travers un prisme essentiel : l’eau.

Quand je l'ai rencontré à une conférence et qu'elle m'a expliqué ce qu'elle faisait, j'ai immédiatement pensé que ça serait un super épisode de podcast à vous proposer.

Ensemble, nous avons exploré une question que je me pose personnellement depuis longtemps : où fera-t-il bon vivre en France dans 10, 15 ou 20 ans ?
Et ce n’est pas qu’une question existentielle, c’est aussi une interrogation très concarète – notamment quand on envisage d’acheter un bien immobilier sur le long terme.

Dans cet épisode, nous parlons en profondeur des critères climatiques essentiels à considérer avant d’investir : températures extrêmes, risques d’inondations, accès à l’eau potable, îlots de chaleur urbains ou encore phénomènes comme l’arrêt possible du Gulf Stream.

Priscille a développé un modèle prédictif qui cartographie avec précision les zones de France les plus résilientes – et celles à éviter – face aux bouleversements climatiques.

J’ai voulu faire un tour de France avec elle, région par région, pour comprendre quels territoires seront les plus habitables dans les prochaines décennies : Marseille, le Luberon, Annecy, Clermont-Ferrand, le Sud-Ouest, Bordeaux, le Pays basque… Chaque lieu soulève des enjeux spécifiques, parfois contre-intuitifs.

Ce que vous entendrez ici, ce sont des clés pour anticiper, comprendre, et surtout faire des choix éclairés dans un monde en mutation.

5 citations marquantes :

  1. « La première chose que le changement climatique change, c’est le cycle de l’eau. » – Priscille Béguin
  2. « Acheter une maison aujourd’hui, c’est aussi parier sur le climat de demain. » – Grégory Pouy
  3. « Paris est à la même latitude que Montréal. Sans le Gulf Stream, on vivrait avec des hivers à -20°C. » – Priscille Béguin
  4. « L’îlot de chaleur urbain est comme un radiateur géant qui s’active la nuit. » – Priscille Béguin
  5. « Une ville à risque qui agit vaut mieux qu’une ville tranquille qui ignore les enjeux. » – Priscille Béguin

10 questions structurées posées dans l’interview :

  1. Pourquoi t’es-tu intéressée à la question de l’eau et du climat ?
  2. Quel est le lien entre urbanisme et accès à l’eau ?
  3. En quoi le Gulf Stream est-il un facteur déterminant pour le climat français ?
  4. Quels sont les principaux risques liés au réchauffement climatique ?
  5. Marseille est-elle vraiment une bonne idée pour investir aujourd’hui ?
  6. Que faut-il penser des régions intérieures comme le Luberon ou Annecy ?
  7. Comment la sécheresse affecte-t-elle les ressources en eau douce ?
  8. Pourquoi le Pays basque est-il un cas particulier ?
  9. Quelles régions sont les plus exposées aux inondations ?
  10. Comment analyser concrètement les risques avant d’acheter un bien ?

Timestamps clés pour YouTube :

  • 00:00 – Introduction de Grégory Pouy : pourquoi cette question le taraude
  • 02:00 – Rencontre avec Priscille Béguin et ses motivations
  • 03:00 – Le rôle de l’eau dans le changement climatique
  • 07:00 – Le Gulf Stream : fonctionnement et risques d’arrêt
  • 13:00 – Marseille et le Sud : chaleur, accès à l’eau, inondations
  • 26:00 – Le Luberon, Annecy, Clermont : différences régionales
  • 35:00 – Sud-Ouest, Pays basque, Bordeaux : les pièges à éviter
  • 42:00 – Les argiles, un risque méconnu pour l’immobilier
  • 45:00 – Vers une nouvelle cartographie des zones habitables

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