placeholder

Vlan!

Gregory Pouy

Les plus récents

#375 Comment soignera t'on le cancer dans 5 ans? avec Nelson Dusetti  cover placeholder
#375 Comment soignera t'on le cancer dans 5 ans? avec Nelson Dusetti
1 h 6 min • 16/12/2025

Détails

Nelson Dusetti est directeur de recherche à l’Inserm, spécialiste du cancer du pancréas, un des plus redoutables aujourd’hui encore.
Il est aussi le co-fondateur de PredictingMed, une startup qui ambitionne de mieux prédire les traitements les plus efficaces pour chaque patient grâce à l’intelligence artificielle et à l’analyse moléculaire.
Ensemble, dans cet épisode, nous avons tenté d'imaginer à quoi pourrait ressembler la prise en charge du cancer dans 5 ans.

Ce sujet est particulièrement difficile à aborder en cette période de fêtes, où l’on voudrait ne penser qu’à la joie et aux retrouvailles.
Et pourtant, c’est précisément parce que Noël est un moment de vulnérabilité et d’amour que je crois essentiel de parler du cancer maintenant.
J’ai récemment perdu un membre de ma famille, et une de mes plus proches amies vient d’être diagnostiquée. Il n’y a jamais de bon moment pour parler de cette maladie. Alors parlons-en.

Dans cet épisode, j’ai voulu comprendre non seulement la science d’aujourd’hui, mais surtout vers quoi nous allons.
Comment on soigne aujourd’hui, certes, mais surtout comment on soignera demain.
Quels sont les espoirs concrets que la recherche fait naître ? Quels sont les obstacles, les leviers, les besoins ? Nelson explique avec clarté la différence entre prévention, pronostic et prédiction. Il nous parle aussi de ce qui rend le cancer du pancréas si complexe, mais aussi de ces patients rares qui y survivent, et de ce que la science peut apprendre d’eux.

C’est un épisode riche, technique parfois, mais toujours profondément humain.
Une conversation que j'espère engagée, pleine d’humilité, de lucidité et d’espoir sur ce que la médecine personnalisée et les avancées technologiques pourraient permettre très prochainement.

Parce que derrière la complexité du cancer se cache aussi une promesse : celle d’un avenir où chaque patient pourra recevoir le bon traitement, au bon moment. Et ça, c’est une vision qui mérite d’être partagée.

Comme soulignée dans l'épisode, si vous souhaitez bénéficier d'une offre exclusive de 15% de réduction sur Saily, c'est ici : www.saily.com/vlan

5 citations marquantes :

  1. « Le cancer est une conséquence presque inévitable de la vie. »
  2. « On peut vivre sainement et quand même avoir un cancer. »
  3. « Comprendre les patients qui survivent, c’est notre plus grand espoir. »
  4. « L’IA peut nous aider à choisir le bon traitement au bon moment. »
  5. « La science est une école d’humilité. »

10 questions structurées posées pendant l’épisode :

  1. Qu’est-ce qui t’a poussé à travailler sur le cancer du pancréas ?
  2. En quoi ce cancer est-il si difficile à traiter ?
  3. Quelle est la fonction du pancréas dans notre corps ?
  4. Qu’est-ce qu’un cancer, au fond ?
  5. Est-ce que notre mode de vie influence vraiment le risque de cancer ?
  6. Pourquoi l’incidence du cancer du pancréas augmente-t-elle ?
  7. Quelle est la différence entre prévention et prédiction ?
  8. Comment l’IA peut-elle contribuer à la médecine personnalisée ?
  9. Quelles sont les limites actuelles de la recherche ?
  10. Quel message tu veux faire passer aux familles concernées ?

Récap des timestamps clés :

  • 00:00 – Introduction personnelle de Grégory et contexte du cancer
  • 02:00 – Présentation de Nelson Dusetti et de sa spécialité
  • 04:00 – Fonction du pancréas et nature du cancer
  • 09:00 – Impact du mode de vie et limites de la prévention
  • 14:00 – Augmentation de l’incidence et rôle de l’exposome
  • 20:00 – Intelligence artificielle et personnalisation des traitements
  • 24:00 – Importance du don de données et de la recherche collaborative
  • 29:00 – Essais cliniques et espoirs concrets
  • 33:00 – Dépistage, diagnostics précoces et inégalités
  • 38:00 – Humilité scientifique et communication grand public
  • 44:00 – Activité physique et retour à une vie plus naturelle
  • 49:00 – Les freins institutionnels à la recherche
  • 51:00 – Pourquoi Nelson a choisi de rester en France

Lire la suite

[Moment]  Comment aimer sans se perdre : passion ou sécurité ? avec Angelo Foley cover placeholder
[Moment] Comment aimer sans se perdre : passion ou sécurité ? avec Angelo Foley
12 min • 11/12/2025

Détails

Dans cet moment marquant, je reviens sur un échange profond avec Angelo, psychopraticien passionné par les dynamiques amoureuses.
Ce moment a suscité de nombreux retours tant il résonne avec nos questionnements les plus personnels.

J’ai interrogé Angelo sur une opposition aussi universelle que troublante : l’amour-passion contre l’amour posé.

Est-ce que ce feu qui nous brûle dans les débuts est synonyme de déséquilibre intérieur ?

Et à l’inverse, la stabilité affective signe-t-elle la fin du désir ? Ensemble, nous avons exploré ces paradoxes : comment conjuguer sécurité et excitation ?

Pourquoi avons-nous tendance à chercher chez l’autre ce qui nous manque ? Et surtout, peut-on vraiment aimer sans projeter nos blessures ?

Dans cet extrait, nous abordons aussi la difficulté d’être surpris quand la routine s’installe, l’impact de nos névroses dans la rencontre amoureuse, et cette quête parfois inconsciente de rejouer nos blessures passées dans l’espoir de les guérir.

Citations marquantes

  1. « Dans l’amour passion, je me sens vivant. Dans l’amour posé, je me sens en sécurité. »
  2. « Le défi d’un couple, c’est de tenter l’aventure de vivre passion et sécurité avec la même personne. »
  3. « Quand tu vas chercher chez l’autre ce qui te manque, ce n’est pas une relation, c’est une béquille. »
  4. « Je crois qu’on ne sait, pour l’instant, que se rencontrer à partir de nos névroses. »
  5. « On reproduit nos blessures dans l’espoir que cette fois, ça se passera autrement. »

10 questions posées dans l’échange

  1. Tu pourrais me parler d’amour-passion versus un amour posé ?
  2. Est-ce que l’amour passionnel, c’est forcément des névroses qui se parlent ?
  3. Est-ce que deux personnes bien avec elles-mêmes sont plus dans un amour posé ?
  4. Peut-on se sentir vivant et en sécurité dans une même relation ?
  5. Pourquoi le désir décline-t-il quand la relation devient stable ?
  6. Comment réconcilier imprévu et engagement ?
  7. Est-ce que surprendre l’autre est un moyen de maintenir la libido ?
  8. Peut-on être une personne complète seule et accueillir l’autre comme un bonus ?
  9. Est-ce que l’on commence toujours une relation à partir de nos névroses ?
  10. Pourquoi répète-t-on les mêmes schémas relationnels douloureux ?

Timestamps clés pour YouTube (version texte)

  • 00:00 – Introduction de Grégory : pourquoi cet extrait a marqué.
  • 00:20 – L’amour passion vs l’amour posé : quelle est la vraie nature du désir ?
  • 01:30 – Vivre la passion et la sécurité ensemble : est-ce possible ?
  • 03:30 – La peur de l’engagement et la perte du désir.
  • 04:20 – Le défi : vivre la surprise et la sécurité avec la même personne.
  • 06:00 – Quand l’envie de surprendre disparaît.
  • 07:40 – L’amour comme béquille : chercher chez l’autre ce qui manque.
  • 08:30 – La rencontre par les névroses : une fatalité ?
  • 10:30 – Répétition des schémas : espoir ou piège inconscient ?

Lire la suite

#374 Comment éduquer sans tomber dans l’autoritarisme ou le laxisme avec Eude Séméria cover placeholder
#374 Comment éduquer sans tomber dans l’autoritarisme ou le laxisme avec Eude Séméria
1 h 0 min 21 s • 09/12/2025

Détails

Eudes Séméria, psychologue et auteur du livre "Éduquer, c’est rendre responsable", est mon invité dans cet épisode puissant et nuancé de Vlan.

Dans cet échange, j’ai voulu aborder un sujet central que je traite régulièrement : l’éducation. Mais ici, nous sommes allés bien au-delà des approches classiques, en explorant les fondements existentiels de ce que signifie vraiment "éduquer".

J’ai questionné Eudes sur les limites de l’éducation positive, sur les effets parfois délétères de notre société ultralibérale qui infantilise les citoyens au lieu de les faire grandir. Nous avons parlé de la différence cruciale entre obéissance et responsabilité, de l’importance de se situer – géographiquement, socialement, émotionnellement – pour devenir un adulte véritablement autonome.

Ce qui m’a profondément marqué, c’est à quel point cette conversation revient sans cesse sur les parents eux-mêmes : leur posture, leurs repères, leur propre capacité à être responsables. On éduque nos enfants en les accompagnant, certes, mais aussi – et peut-être surtout – en grandissant à leurs côtés.

Avec Eudes, nous avons évoqué la valeur du jeu, le cadre éducatif, les pièges de l’optimisation permanente, la puissance du tact et de la politesse, et ce que signifie vraiment avoir une autorité saine.

Un épisode dense, engagé, qui interroge profondément notre société, notre rapport à la liberté, et notre responsabilité collective envers la génération qui vient.


3. 5 citations marquantes

  1. "L’obéissance n’est pas la responsabilité, c’est juste la peur de perdre."
  2. "Un adulte véritable, c’est un être capable de se situer dans l’espace, le temps et la relation."
  3. "Il n’y a pas de liberté, seulement des efforts de libération."
  4. "On ne peut pas grandir seul. L’éducation est un acte partagé."
  5. "La politesse, c’est considérer que l’autre est aussi important que soi."

4. 10 questions posées dans l’interview

  1. Pourquoi avoir écrit un livre sur l’éducation aujourd’hui ?
  2. C’est quoi, grandir et devenir adulte selon vous ?
  3. En quoi l’obéissance diffère-t-elle de la responsabilité ?
  4. Comment peut-on savoir si l’on est responsable en tant que parent ?
  5. Qui éduque vraiment nos enfants aujourd’hui ?
  6. Comment fixer un cadre sans tomber dans l’autoritarisme ?
  7. Quelles sont les limites de l’éducation positive ?
  8. En quoi le jeu est-il fondamental dans l’apprentissage ?
  9. Comment transmettre l’esprit critique aux enfants ?
  10. Pourquoi attaquez-vous les anglicismes dans votre livre ?

5. Timestamps clés optimisés pour YouTube

00:00 - Introduction de Grégory Pouy : pourquoi parler d’éducation
01:18 - Présentation d’Eudes Séméria et de son livre
04:06 - La vraie définition de la responsabilité
06:37 - Éduquer, c’est apprendre à se situer
11:51 - La technologie, source de déresponsabilisation ?
16:31 - Obéissance ou liberté : le vrai enjeu de l’éducation
24:36 - Comment forger une pensée propre dès l’enfance
27:44 - Autorité vs autoritarisme : une différence essentielle
33:59 - Les dérives de l’éducation positive
43:19 - Le rôle du jeu dans l’apprentissage
51:25 - Intimité, respect, et politesse dans la relation parent-enfant
56:26 - La société veut-elle vraiment nous faire grandir ?
57:34 - Une éducation fondée sur la tendresse

Lire la suite

[MOMENT CLEF] Pourquoi j’ai arrêté la viande avec Hugo Clément cover placeholder
[MOMENT CLEF] Pourquoi j’ai arrêté la viande avec Hugo Clément
10 min • 04/12/2025

Détails

Hugo Clément, journaliste engagé et militant pour la cause animale, partage ici un moment fort d’un échange passé, qui résonne encore très justement aujourd’hui.

Dans cet extrait, nous discutons de la réduction de la consommation de viande, de ses motifs profonds – santé, climat, souffrance animale – et surtout de la prise de conscience progressive dans nos sociétés.

J’ai voulu comprendre pourquoi, malgré des preuves scientifiques accablantes, il est encore si difficile de changer nos habitudes alimentaires.

Hugo, avec sa clarté habituelle, insiste : l'argument de la santé ne devrait pas masquer les véritables enjeux éthiques et environnementaux. Il rappelle que la réalité de l’élevage intensif en France est bien éloignée de l’image rassurante de la ferme d’antan.

Un extrait percutant, qui met en lumière la dimension psychologique, culturelle et systémique de notre alimentation carnée.


5 Citations Marquantes

  1. "On peut être végétarien ou vegan et en très bonne santé – c’est scientifiquement établi."
  2. "Je ne veux pas utiliser l’argument santé, parce qu’on peut être en bonne santé en mangeant un peu de viande."
  3. "L’élevage intensif ne profite à personne, pas même aux éleveurs."
  4. "On a tous une aversion à la perte – arrêter la viande, c’est renoncer à une habitude."
  5. "La clé de tout, c’est l’information : sur l’élevage, la santé, l’économie."

10 Questions Structurées Posées dans l’Interview

  1. Est-ce que l’argument de la santé est aujourd’hui plus puissant que celui de l’écologie ou du bien-être animal ?
  2. Pourquoi n’utilises-tu pas l’argument de la santé humaine ?
  3. Est-ce que le régime végétarien est toujours synonyme de bonne santé ?
  4. Pourquoi ne pas recommander d’arrêter totalement la viande pour des raisons de santé ?
  5. Peut-on quand même utiliser l’argument santé pour inciter à la réduction ?
  6. Quel est le rôle de l’information dans la transition alimentaire ?
  7. Quelle est la réalité de l’élevage intensif aujourd’hui en France ?
  8. Pourquoi l’élevage intensif ne profite-t-il même pas aux éleveurs ?
  9. Comment expliquer la résistance culturelle à arrêter la viande ?
  10. Quels sont les mécanismes psychologiques qui freinent la transition alimentaire ?

Timestamps Clés

  • 00:00 – Grégory introduit le débat sur les motivations de la réduction de la viande
  • 00:36 – Hugo refuse l’argument santé comme motivation principale
  • 01:30 – Le risque de dogmatisme sur les régimes sans viande
  • 02:23 – Consommation excessive de viande et consensus scientifique
  • 03:14 – Hugo évoque ses propres motivations : éthique et écologie
  • 04:57 – L’hypocrisie sociale face à la souffrance animale
  • 05:20 – Aversion à la perte et frein au changement
  • 06:49 – Le rôle clé de l'information pour éveiller les consciences
  • 07:33 – La réalité de l’élevage intensif : chiffres et conditions
  • 09:03 – L’élevage intensif ne profite même pas aux éleveurs

Lire la suite

#373 Comment déconstruire le mythe de la vieille fille? avec Lauren Bastide cover placeholder
#373 Comment déconstruire le mythe de la vieille fille? avec Lauren Bastide
1 h 4 min • 02/12/2025

Détails

Lauren Bastide est journaliste, autrice et militante féministe et évidemment podcasteuse.
Elle vient de publier Enfin seule, un livre intime et politique qui m’a permis de remettre en question mes propres biais intégrés et mes croyances.
C’est une conversation que je voulais absolument avoir avec elle depuis longtemps, car nous nous connaissons depuis des années et j’admire énormément son parcours, son intelligence, et la justesse de ses engagements.

Dans cet épisode, nous parlons de solitude féminine, mais surtout de ce que cela signifie de choisir d’être seule loin des injonctions sociales au couple, à la maternité, à la conformité.
J’ai voulu comprendre pourquoi tant de femmes ressentent un manque ou une honte à ne pas avoir "coché toutes les cases", alors qu’elles mènent des vies passionnantes.

Lauren apporte une réponse puissante : ce n’est pas un vide intérieur, mais une pression extérieure.

J’ai questionné Lauren sur la différence entre être seule, vivre seul et se sentir seul, et sur la manière dont le patriarcat a historiquement maintenu les femmes sous surveillance.

Nous avons évoqué des figures oubliées comme Gabrielle Suchon, les dangers d’un retour à un ordre moral réactionnaire – notamment aux États-Unis – mais aussi le rôle de la maison, du corps, de la charge mentale et du soin dans la conquête de soi.

C’est un épisode dense, engagé et profondément humain, où il est aussi question de sororité, de féminisme, de poétique du quotidien et de droit à l’ennui.


5 citations marquantes

  1. « Le célibat, ce n’est pas une position de moins 1. C’est la position zéro. »
  2. « Une femme seule, c’est encore vu comme une anomalie sociale. »
  3. « Vivre seule par choix, c’est un geste politique. »
  4. « On ne peut pas être libre si on reste sous surveillance. »
  5. « La maison peut être une prison ou une cabane, c’est ce que l’on en fait. »

10 questions posées

  1. Quelle est ta relation à l’amitié entre hommes et femmes ?
  2. À qui s’adresse ton livre Enfin seule ?
  3. Que réponds-tu aux femmes qui souffrent du célibat ?
  4. Pourquoi la solitude est-elle un enjeu politique ?
  5. Quelle est la différence entre vivre seul, être seul et se sentir seul ?
  6. Comment perçois-tu le recul des droits des femmes aux États-Unis ?
  7. Peux-tu nous parler de Gabrielle Suchon ?
  8. Que signifie pour toi la maison, la cabane ?
  9. Comment vis-tu tes propres contradictions ?
  10. C’est quoi le message central que tu veux faire passer aux femmes ?

Timestamps clés

  • 00:00 – Introduction par Gregory : pression sociale autour du couple
  • 02:00 – Début de la conversation avec Lauren
  • 03:50 – Sur l’amitié et les relations non capitalisables
  • 05:30 – À qui s’adresse Enfin seule
  • 10:00 – Solitude choisie vs isolement
  • 14:00 – Injonctions sociales au couple
  • 19:30 – Le célibat féminin comme stigmate
  • 22:00 – Surveillance des femmes et contrôle social
  • 31:00 – Recul des droits aux États-Unis et tradwives
  • 37:00 – Droit au repos et « linger » selon Bell Hooks
  • 41:00 – La maison : entre oppression et émancipation
  • 47:00 – Contradictions personnelles et rôle du soin
  • 52:00 – Le mythe de la joggeuse et le vrai danger
  • 56:00 – Trouver une voix intérieure

Lire la suite

[MOMENT CLEF] Changer de vie avec des enfants, c’est possible avec Pédro Correa cover placeholder
[MOMENT CLEF] Changer de vie avec des enfants, c’est possible avec Pédro Correa
9 min • 27/11/2025

Détails

Pedro Correa est photographe et auteur du livre "Matins clairs" au moment de l'enregistrement.

Dans cet extrait puissant, nous revenons ensemble sur une question centrale que beaucoup de personnes se posent : comment changer de vie quand on a des enfants, une hypothèque, des responsabilités ? Car le changement ne s'adresse pas uniquement à ceux qui sont jeunes, libres, sans attaches.

Dans cet épisode, je (Grégory Pouy) questionne Pedro sur les implications très concrètes d’un tel bouleversement de vie, quand on est déjà bien installé. Il y partage avec beaucoup d’authenticité les étapes de son cheminement intérieur, les freins, les doutes, mais aussi cette conviction forte : le véritable obstacle n’est pas l’argent, mais la peur.

C’est un moment particulièrement inspirant où Pedro démontre, exemples à l’appui, que même avec une famille, une maison, et une vie confortable, il est possible de redéfinir ses priorités pour vivre plus aligné, plus libre, et surtout plus heureux. Un témoignage qui donne du courage à celles et ceux qui pensent que le changement est réservé aux autres.


5 Citations marquantes :

  1. « Le problème, ce n’est pas financier, ce sont les freins. »
  2. « On a besoin de beaucoup moins que ce qu’on pense. »
  3. « Moins de biens, plus de liens. »
  4. « Ce travail devenait juste une étape de ma vie. »
  5. « Le vrai luxe, c’est d’être aligné avec soi-même. »

10 Questions structurées posées dans l’interview :

  1. Comment changer de vie quand on a des enfants à nourrir et une maison à payer ?
  2. Est-ce que c’est vraiment possible de quitter une vie confortable ?
  3. Quelles ont été tes peurs les plus profondes ?
  4. Comment as-tu surmonté tes freins intérieurs ?
  5. Est-ce que tu penses que tout le monde peut le faire ?
  6. Le changement, est-ce forcément une rupture brutale ?
  7. Peut-on vraiment vivre avec moins sans se sentir frustré ?
  8. Quelles ont été les premières étapes concrètes de ton changement de vie ?
  9. Quelle est ta vision du confort aujourd’hui ?
  10. Le sens est-il plus important que la réussite ?

Timestamps clés pour YouTube :

  • 00:00 – La grande question du changement avec enfants et responsabilités
  • 00:58 – « Le problème, ce n’est pas l’argent » : une réponse nuancée
  • 02:10 – La vraie richesse : un travail intérieur
  • 03:07 – « J’avais un matelas par terre, j’étais heureux »
  • 04:07 – Moins de biens, plus de liens : un nouveau modèle de vie
  • 04:52 – Répondre à l’argument du privilège : chacun son parcours
  • 05:42 – L’alignement comme vraie quête, au-delà du succès
  • 06:36 – Trouver sa voie, même dans des jobs alimentaires
  • 07:21 – « J’ai mis 6 ans à changer de vie »
  • 08:22 – Le pouvoir du transitoire : changer sans tout quitter

Lire la suite

#372 Comment réparer une société à bout de souffle? Avec Natacha Polony (partie 2) cover placeholder
#372 Comment réparer une société à bout de souffle? Avec Natacha Polony (partie 2)
42 min • 25/11/2025

Détails

Natacha Polony, journaliste et éditorialiste, est la fondatrice de la revue L’Audace, une publication trimestrielle qui tente de réunir dans ses pages des points de vue contradictoires.

À travers cette initiative, elle veut redonner du souffle au débat d’idées dans un paysage médiatique souvent trop polarisé.

D'ailleurs pour conserver leur indépendance de point de vue, ils font une levée de fond à laquelle vous pouvez participer ici

J’avais prévu de recevoir dans Vlan! des personnes avec lesquelles je n’étais pas d’accord.

Et dans cette démarche, on m’a suggéré Natacha Polony. Honnêtement, je pensais que nos points de vue seraient profondément divergents. Et pourtant, la surprise fut grande : au fil de la discussion, j’ai réalisé que nous étions beaucoup plus alignés que je ne l’aurais imaginé et c'est justement cela la beauté des conversations longues quand même.

Dans cet épisode, nous abordons avec sincérité des sujets essentiels comme l’écologie, l’économie, la désindustrialisation de la France, la souveraineté alimentaire, la crédibilité des politiques et des médias. Le tout avec une vision à long terme, un besoin criant de retrouver du sens dans nos vies collectives, et une volonté partagée de redonner sa place au citoyen dans la démocratie.

J’ai questionné Natacha sur le rôle des élites, sur notre rapport à la consommation, sur la déconnexion des élites politiques avec la réalité du terrain, mais aussi sur ce que signifie aujourd’hui « réussir son enfant », et comment nos politiques publiques nous emmènent à perdre pied avec notre humanité.

Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est la capacité de Natacha à parler sans jargon, à s’appuyer sur le réel, et à interroger ses propres convictions. Ce fut un échange dense, riche, parfois inattendu, et toujours stimulant.


5 citations marquantes

  1. « On vit dans une société qui valorise les sens de la distance et dévalorise ceux de la proximité. »
  2. « Ce n’est pas aux citoyens de porter seuls la responsabilité écologique : le politique doit assumer. »
  3. « Un achat, c’est une adhésion à un système économique. »
  4. « Ce n’est pas l’économie qui est une science dure, ce sont les limites planétaires. »
  5. « Le rôle des médias, c’est de replacer les faits dans leur contexte et leur temporalité. »

10 questions structurées posées dans l’interview

  1. Comment avez-vous grandi à Montmorency et en quoi cela vous a-t-il façonnée ?
  2. Que signifie pour vous le temps long dans une société d’optimisation permanente ?
  3. Pourquoi dit-on souvent que les enfants d’aujourd’hui manquent d’accès à la nature ?
  4. Quel est votre regard sur le lien entre écologie et économie ?
  5. Que pensez-vous de la taxe Zucman et de la redistribution des richesses ?
  6. Est-ce que l’action individuelle peut réellement changer le système économique ?
  7. Comment les politiques peuvent-ils retrouver une vision à long terme ?
  8. Peut-on encore croire à la démocratie dans un climat politique aussi fracturé ?
  9. Quel rôle les médias devraient-ils jouer dans une société en crise ?
  10. Pourquoi lancer une nouvelle revue comme L’Audace aujourd’hui ?

Timestamps clés

  • 00:00 – Introduction : pourquoi inviter Natacha Polony
  • 02:00 – Le poids de l’enfance et du territoire
  • 05:00 – L’ennui créateur et le temps long
  • 10:00 – Une écologie incarnée et humaine
  • 15:00 – Économie contre écologie ?
  • 22:00 – Inégalités, fiscalité et impôts
  • 30:00 – L’impact de nos choix de consommation
  • 35:00 – Le rôle des politiques : vision ou opportunisme ?
  • 42:00 – Le système démocratique en panne ?
  • 55:00 – Responsabilité des médias et du journalisme

Lire la suite

#372  Comment réparer une société à bout de souffle? Avec Natacha Polony (partie 1) cover placeholder
#372 Comment réparer une société à bout de souffle? Avec Natacha Polony (partie 1)
59 min • 25/11/2025

Détails

Natacha Polony, journaliste et éditorialiste, est la fondatrice de la revue L’Audace, une publication trimestrielle qui tente de réunir dans ses pages des points de vue contradictoires.

À travers cette initiative, elle veut redonner du souffle au débat d’idées dans un paysage médiatique souvent trop polarisé.

D'ailleurs pour conserver leur indépendance de point de vue, ils font une levée de fond à laquelle vous pouvez participer ici

J’avais prévu de recevoir dans Vlan! des personnes avec lesquelles je n’étais pas d’accord.

Et dans cette démarche, on m’a suggéré Natacha Polony. Honnêtement, je pensais que nos points de vue seraient profondément divergents. Et pourtant, la surprise fut grande : au fil de la discussion, j’ai réalisé que nous étions beaucoup plus alignés que je ne l’aurais imaginé et c'est justement cela la beauté des conversations longues quand même.

Dans cet épisode, nous abordons avec sincérité des sujets essentiels comme l’écologie, l’économie, la désindustrialisation de la France, la souveraineté alimentaire, la crédibilité des politiques et des médias. Le tout avec une vision à long terme, un besoin criant de retrouver du sens dans nos vies collectives, et une volonté partagée de redonner sa place au citoyen dans la démocratie.

J’ai questionné Natacha sur le rôle des élites, sur notre rapport à la consommation, sur la déconnexion des élites politiques avec la réalité du terrain, mais aussi sur ce que signifie aujourd’hui « réussir son enfant », et comment nos politiques publiques nous emmènent à perdre pied avec notre humanité.

Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est la capacité de Natacha à parler sans jargon, à s’appuyer sur le réel, et à interroger ses propres convictions. Ce fut un échange dense, riche, parfois inattendu, et toujours stimulant.


5 citations marquantes

  1. « On vit dans une société qui valorise les sens de la distance et dévalorise ceux de la proximité. »
  2. « Ce n’est pas aux citoyens de porter seuls la responsabilité écologique : le politique doit assumer. »
  3. « Un achat, c’est une adhésion à un système économique. »
  4. « Ce n’est pas l’économie qui est une science dure, ce sont les limites planétaires. »
  5. « Le rôle des médias, c’est de replacer les faits dans leur contexte et leur temporalité. »

10 questions structurées posées dans l’interview

  1. Comment avez-vous grandi à Montmorency et en quoi cela vous a-t-il façonnée ?
  2. Que signifie pour vous le temps long dans une société d’optimisation permanente ?
  3. Pourquoi dit-on souvent que les enfants d’aujourd’hui manquent d’accès à la nature ?
  4. Quel est votre regard sur le lien entre écologie et économie ?
  5. Que pensez-vous de la taxe Zucman et de la redistribution des richesses ?
  6. Est-ce que l’action individuelle peut réellement changer le système économique ?
  7. Comment les politiques peuvent-ils retrouver une vision à long terme ?
  8. Peut-on encore croire à la démocratie dans un climat politique aussi fracturé ?
  9. Quel rôle les médias devraient-ils jouer dans une société en crise ?
  10. Pourquoi lancer une nouvelle revue comme L’Audace aujourd’hui ?

Timestamps clés

  • 00:00 – Introduction : pourquoi inviter Natacha Polony
  • 02:00 – Le poids de l’enfance et du territoire
  • 05:00 – L’ennui créateur et le temps long
  • 10:00 – Une écologie incarnée et humaine
  • 15:00 – Économie contre écologie ?
  • 22:00 – Inégalités, fiscalité et impôts
  • 30:00 – L’impact de nos choix de consommation
  • 35:00 – Le rôle des politiques : vision ou opportunisme ?
  • 42:00 – Le système démocratique en panne ?
  • 55:00 – Responsabilité des médias et du journalisme

Lire la suite

[HORS SERIE]  Microbiote : quel profil ëtes vous?  cover placeholder
[HORS SERIE] Microbiote : quel profil ëtes vous?
22 min • 20/11/2025

Détails

Bruno Donatini, gastro-entérologue, expert en mycothérapie et formateur en médecine intégrative, revient pour la troisième fois dans un épisode hors-série de Vlan.

À chaque échange, Bruno nous livre avec clarté et passion les fondements d’une médecine de précision, à la croisée des savoirs traditionnels et de la science contemporaine. Dans cet épisode plus court que d’habitude, nous avons souhaité aller droit au but : comprendre les quatre grandes typologies de microbiote intestinal et savoir comment les rééquilibrer rapidement.

J’ai voulu qu’on simplifie au maximum l’approche, sans perdre la richesse du contenu. Nous passons donc en revue les quatre grands entérotypes : le microbiote appauvri (souvent lié au mode de vie moderne), la flore hydrogène (trop de sucres, souvent chez les jeunes), la flore méthanogène (constipation, transit lent) et la flore de type Prévotella (la plus délétère, avec des risques inflammatoires et tumoraux).

Bruno nous guide pas à pas dans l'identification des symptômes (gaz, ballonnements, fatigue, problèmes buccaux…) et les solutions concrètes à mettre en œuvre : ajustements alimentaires ciblés, usage subtil de champignons médicinaux, huiles essentielles bien dosées, drainage du foie, voire stimulation du nerf vague. Il nous rappelle aussi que notre microbiote n’est pas figé, et que nous avons le pouvoir d’agir, à condition d’avoir les bonnes clés.

Ce qui m’a frappé, encore une fois, c’est la précision de son approche et sa volonté de redonner aux patients la capacité d’être acteurs de leur santé. Un épisode pour celles et ceux qui veulent comprendre, prévenir, voire inverser des dynamiques profondes de santé.

3. Citations marquantes

  1. "Votre microbiote, c’est votre avenir de santé entre vos mains."
  2. "À 65 ans, on a dix ans d'autonomie devant soi. Voulez-vous les vivre en pleine forme ?"
  3. "La flore Prévotella, c’est la plus délétère : inflammatoire, virale, tumorale."
  4. "Il n’y aura pas de place pour tout le monde. Il faut choisir : prévention ou soumission."
  5. "Un bon microbiote, c’est un bon sommeil, une bonne mémoire, et de l’enthousiasme."

4. 10 questions structurées posées dans l’interview

  1. Quels sont les grands types de microbiote ?
  2. Comment reconnaître la flore hydrogène ?
  3. Quelles sont les conséquences d’une flore méthanogène ?
  4. Comment se manifeste la flore Prévotella ?
  5. Que peut-on faire concrètement pour rééquilibrer son microbiote ?
  6. Est-ce que les gaz produits par le microbiote sont toujours odorants ?
  7. Quels conseils alimentaires pour réduire la flore hydrogène ?
  8. Comment améliorer une flore appauvrie ?
  9. Le vieillissement du microbiote est-il réversible ?
  10. Quels sont les effets concrets sur la longévité et la qualité de vie ?

5. Récapitulatif des timestamps clés pour YouTube

  • 00:00 – Introduction : les 4 grands types de microbiote
  • 00:54 – Présentation des 4 entérotypes : flore pauvre, hydrogène, méthanogène, Prévotella
  • 03:10 – Les gaz : hydrogène, méthane, H2S et leurs conséquences
  • 04:08 – Comment diagnostiquer son microbiote cliniquement
  • 05:01 – Flore hydrogène : alimentation et traitement
  • 05:57 – Flore Prévotella : dangers et protocoles
  • 08:55 – Flore méthanogène : traitement et transit
  • 09:59 – Flore pauvre : jeunes vs sujets plus âgés
  • 12:04 – Syndrome métabolique et flore appauvrie chez les seniors
  • 14:34 – Microbiote, immunité et vieillissement
  • 16:48 – Âge biologique vs âge réel : les indicateurs de santé
  • 19:34 – Prévention, espérance de vie et justice sociale
  • 22:08 – Conclusion : le triptyque microbiote – immunité – nerf vague

Lire la suite

#371 Comment un assassin est devenu un héros populaire moderne? Avec Nicolas Framont cover placeholder
#371 Comment un assassin est devenu un héros populaire moderne? Avec Nicolas Framont
1 h 0 min 59 s • 18/11/2025

Détails

Nicolas Framont est sociologue engagé et auteur du percutant Saint Luigi, un ouvrage aussi provocateur que nécessaire.

Dans cet épisode, nous discutons ensemble d’un fait divers que vous avez forcément vu passer : Luigi Mangione, accusé d’avoir assassiné de sang-froid le CEO de United Healthcare, est pourtant célébré comme un héros sur les réseaux sociaux.

Pourquoi une telle admiration pour un homme soupçonné de meurtre ? Que cela dit-il de notre société en particulier aux U.S. ? Pourquoi, dans un monde où l’on vénère la réussite financière, un tel renversement des rôles suscite-t-il autant d’adhésion populaire ?

Avec Nicolas, nous avons décortiqué cette affaire pour aller bien au-delà du fait divers.
Dans la lignée des épisodes avec Antoine Foucher sur l'impossibité structurelle de s'enrichir. par son travail en France mais aussi celui avec Caroline Miguel Aguirre sur le scandale de l'argent public, nous avons abordé les dysfonctionnements profonds du neo liberallsme, le sentiment d’injustice sociale, le rôle des grandes entreprises, mais aussi la manière dont le système politique et médiatique amplifie ces déséquilibres.

J’ai aussi voulu comprendre avec lui la place des classes sociales aujourd’hui, ce qu’il appelle la "sous-bourgeoisie", et pourquoi tant de décisions prises "en col blanc" peuvent générer une violence invisible, mais bien réelle.

Cet échange va, je pense, profondément vous questionner sur notre monde, sur le rôle des élites, sur les logiques économiques dans lesquelles nous sommes pris… et sur ce qu’on peut, ou doit, en faire.


Cinq citations marquantes :

  1. « Il y a des gens qui donnent la mort par PowerPoint. »
  2. « Ce n’est pas une critique morale, c’est une critique systémique. »
  3. « On a basculé d’un État-providence pour les gens à un État-providence pour les riches. »
  4. « Le capitalisme ne fait plus rêver. »
  5. « On célèbre des assassins parce qu’ils symbolisent une révolte contre l’ordre établi. »

10 questions structurées posées :

  1. Pourquoi avoir choisi d’écrire sur Luigi Mangione et d’en faire une icône ?
  2. Que dit la popularité de cet homme accusé de meurtre sur notre société ?
  3. Le problème est-il l’individu (Brian Thompson) ou le système dans lequel il évolue ?
  4. Peut-on encore parler de responsabilité individuelle dans un système si hiérarchisé ?
  5. Comment expliques-tu qu’on célèbre un assassin et qu’on continue de voter pour Trump ?
  6. La France est-elle réellement un pays aussi "social" qu’on le prétend ?
  7. Peut-on vraiment imaginer une société sans classe dominante ?
  8. Est-ce que toi aussi, à leur place, tu aurais agi pareil ?
  9. Quelles sont les alternatives concrètes au capitalisme ?
  10. Comment rendre les rapports de pouvoir plus éphémères ou égalitaires ?

Timestamps clés

  • 00:00 - Introduction au podcast et au cas Luigi Mangione
  • 02:00 - Pourquoi Nicolas Framont parle de "Saint Luigi"
  • 04:00 - Que dit cette affaire du capitalisme américain ?
  • 08:00 - Décisions "de bureau" et conséquences humaines
  • 12:00 - La hiérarchie invisible dans le système capitaliste
  • 16:00 - Classe dominante vs classe d’exécutants
  • 21:00 - Peut-on vraiment supprimer les dominations ?
  • 26:00 - Vote, contradictions et réalités politiques
  • 33:00 - Le vote, entre affect et déconnexion idéologique
  • 38:00 - La France est-elle encore un pays social ?
  • 44:00 - Le capitalisme coûte-t-il plus qu’il ne rapporte ?
  • 47:00 - Quelles alternatives concrètes au capitalisme ?

Lire la suite

,