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Voilà près de 3 ans que l'on vit au quotidien avec Chat GPT et si vous êtes comme moi, vous êtes tombés dedans. Et quand je dis « tombé »...parfois, je demande des choses tellement stupides par paresse intellectuelle que je me dis "Non mais Greg, qu'est-ce que tu es en train de devenir ?" Oui je me parle à la 2eme personne pas vous ?
Cette question dérangeante m'obsède depuis des semaines.
Nous sommes en train de vivre la plus grande révolution cognitive de l'histoire de l'humanité, on a ce double effet « whaouh » devant l'étendue de ce qui est possible de faire avec l'IA et cet effet « outch » en se demandant ce qui va bien pouvoir nous rester.
Mais personne ne semble se demander si nous ne sommes pas en train de nous lobotomiser nous-mêmes avec le sourire et l'enthousiasme de celui qui vient de découvrir qu'il peut faire ses devoirs sans réfléchir.
Vous aussi, vous ressentez cette sensation troublante ? Cette facilité presque obscène avec laquelle vous déléguez votre réflexion à une machine ? Cette petite culpabilité qui vous prend quand vous réalisez que vous n'avez plus ouvert un livre depuis que vous avez découvert que ChatGPT pouvait vous résumer n'importe quel ouvrage ?
Déjà qu'avec les réseaux sociaux on avait du mal à se concentrer plus de 1 page et demi, maintenant, de plus en plus... on lâche l'affaire carrément (heureusement que j’aime lire et que pour Vlan! j’y suis contraint en quelque sorte).
Rassurez-vous, nous sommes tous dans le même bateau mais il prend l'eau. Et c'est justement parce que nous sommes tous complices de cette paresse intellectuelle qu'il devient urgent d'ouvrir les yeux sur les vrais enjeux de l'I.A..
J'en ai tellement marre d'entendre que l'I.A. est un danger pour l'humanité et qu'elle va remplacer le travail...il faut prêter attention à qui tient ce genre de discours et se demander leurs motivations.
Spoiler alert : aucun modèle d'I.A. n'est rentable et ils ont besoin de lever des fonds et donc d'affirmer qu'ils représentent le futur.
D'ailleurs, si vous avez peur de vous faire remplacer par l'IA., j'ai interrogé des centaines de personnes et j'ai passé tout l'été à transformer ce que j'avais appris en un test pour calculer votre score de survie professionnel face à l'I.A. C'est gratuit et c'est ici.
Mais surtout, je vous l’annonce en avant première, j'ai créé une masterclass pour vraiment comprendre les impacts de l'I.A. dans le monde du travail.
D’ailleurs, exclusivement pour vous, j’ai créé un coupon de réduction de 50 Euros (99 Euros au lieu de 149) : NEWSLETTERGREG.
Le coupon n’est valable qu’une semaine donc profitez-en!
En tous cas, c'est un niveau de discours et de contenus que je ne vois nulle part mais qui devrait vraiment transformer votre perspective sur le sujet.
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Cédric Ronstein est créateur de contenu, podcasteur et père engagé. Ceci est la partie 1 du podcast.
Il est surtout connu pour Papatriarcat, un compte instagram et un podcast incontournable sur la parentalité consciente.
On se suit mutuellement depuis longtemps donc j'étais vraiment ravi de recevoir Cédric sur le podcast
Dans cet épisode, nous parlons de paternité, mais aussi de parentalité dans son ensemble, avec une perspective très engagée : celle de remettre l’enfant au centre tout en questionnant les fondements patriarcaux de notre éducation.
J’ai questionné Cédric sur son parcours personnel, sur ce qui l’a poussé à créer ce podcast, et sur sa prise de conscience en tant que père. Nous avons discuté du poids des injonctions sociales, de l’adultisme, de l’infantisme, et de ce que cela signifie d’être un "nouveau père" aujourd’hui. Il nous partage son cheminement, de la violence éducative subie dans son enfance à sa volonté de bâtir une parentalité respectueuse, non violente et égalitaire.
J’aborde aussi, avec lui, la place des hommes dans la parentalité, leur rôle trop souvent secondaire, et la pression immense qui continue de peser sur les mères. Nous parlons sans détour de charge mentale, de burn-out parental, mais aussi de ces fausses représentations de pères exemplaires qu'on applaudit pour avoir simplement... fait leur part.
Un épisode riche, parfois dur, souvent éclairant, que j’ai adoré enregistrer. J’espère qu’il suscitera chez vous autant de réflexions que chez moi.
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Cédric Ronstein est créateur de contenu, podcasteur et père engagé. Ceci est la partie 1 du podcast.
Il est surtout connu pour Papatriarcat, un compte instagram et un podcast incontournable sur la parentalité consciente.
On se suit mutuellement depuis longtemps donc j'étais vraiment ravi de recevoir Cédric sur le podcast
Dans cet épisode, nous parlons de paternité, mais aussi de parentalité dans son ensemble, avec une perspective très engagée : celle de remettre l’enfant au centre tout en questionnant les fondements patriarcaux de notre éducation.
J’ai questionné Cédric sur son parcours personnel, sur ce qui l’a poussé à créer ce podcast, et sur sa prise de conscience en tant que père. Nous avons discuté du poids des injonctions sociales, de l’adultisme, de l’infantisme, et de ce que cela signifie d’être un "nouveau père" aujourd’hui. Il nous partage son cheminement, de la violence éducative subie dans son enfance à sa volonté de bâtir une parentalité respectueuse, non violente et égalitaire.
J’aborde aussi, avec lui, la place des hommes dans la parentalité, leur rôle trop souvent secondaire, et la pression immense qui continue de peser sur les mères. Nous parlons sans détour de charge mentale, de burn-out parental, mais aussi de ces fausses représentations de pères exemplaires qu'on applaudit pour avoir simplement... fait leur part.
Un épisode riche, parfois dur, souvent éclairant, que j’ai adoré enregistrer. J’espère qu’il suscitera chez vous autant de réflexions que chez moi.
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Ceci est un moment très réécouté d'un épisode passé, en l'occurrence le 135.
Eve Berger, docteure en sciences de l’éducation, ex-thérapeute et aujourd’hui coach de dirigeants, explore avec sensibilité et profondeur ce que signifie "honorer le vivant". Auteure d’un livre sur l’intelligence du corps, elle nous partage son parcours riche, passant du soin à l’accompagnement, avec un fil rouge : remettre le corps au cœur de nos vies.
Dans cet épisode, nous parlons du lien brisé entre notre esprit et notre corps, d’un rapport au vivant que notre société occidentale a peu à peu oblitéré. J’ai questionné Eve sur les signes avant-coureurs du burn-out, ces alertes silencieuses que notre corps envoie parfois pendant des années — mais que nous n’entendons plus.
Nous avons parlé de lenteur, de perception intérieure, de la manière dont certaines cultures — souvent plus proches de la nature — entretiennent une connexion fine avec leur intériorité corporelle. Eve évoque aussi son chemin personnel, de la psychomotricité à la fasciathérapie, et comment ces approches l'ont conduite à développer une manière d’accompagner fondée sur quatre piliers : le toucher, le mouvement, la méditation et le verbe.
Ce que j’ai trouvé fascinant, c’est sa manière de tisser les dimensions du corps, de l’esprit, du collectif et du vivant, sans jamais opposer ces mondes, mais en cherchant à les relier. Car comme elle le dit si bien, faire vivre le vivant en nous, entre nous et autour de nous, c’est peut-être là le vrai projet.
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Alain Damasio, est un immense auteur de science-fiction et à ses coté Benjamin Allegrini, naturaliste, chercheur et auteur du livre L’ADN fantôme.
Une technologie nouvelle et qui pourrait bouleverser notre rapport au vivant.
Dans cet épisode, j’ai eu la chance de réunir ces deux voix pour une discussion à la croisée des chemins entre science, poésie, philosophie et politique.
Nous avons parlé de cette obsession contemporaine de tout voir, tout comprendre, tout contrôler. De l’illusion de la maîtrise, face à un vivant toujours fuyant, mystérieux, grouillant.
J’ai questionné Benjamin sur sa passion pour les animaux invisibles, comme les chauves-souris, sur la genèse de son livre, et sur les limites éthiques et philosophiques de l’ADN environnemental.
Alain, fidèle à sa puissance d’imaginaire, a partagé ses doutes, ses fascinations, et cette inquiétude légitime : que devient notre lien au vivant quand il est médié par des machines ?
Dans cet épisode, on parle de pollinisateurs invisibles, de microbiote, de poissons géants introuvables, d’espèces oubliées de la Seine, et de la différence entre le réel et la réalité.
J’ai voulu avec cet échange, dense et vibrant, proposer une autre manière d’habiter le monde, plus humble, plus curieuse, et peut-être un peu plus émerveillée.
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Septembre arrive avec ses promesses de renouveau et ses résolutions de rentrée. Comme moi, vous avez peut-être passé l'été à vous poser des questions métaphysiques et en particulier, parce que pendant l’été on remet les choses en perspectives : c’est quoi une bonne vie ?
J’espère que vous avez passé un bel été rempli de soleil, de repos, de rire et de discussions.
En ce qui me concerne, j’ai passé la plupart de mon été à travailler…plutôt comique pour une personne qui prône le ralentissement (quoi ? comment ? « contradiction »…oh si peu…).
J’ai ralenti certes mais je ne me suis pas arrêté.
Vous comprenez que pour moi particulièrement la question reste : c'est quoi, au fond, une bonne vie ?
Car voici LE paradoxe de notre époque : nous n'avons jamais eu autant d'outils pour réfléchir au bonheur, autant de livres de développement personnel, autant de podcasts sur l'épanouissement... et pourtant, nous n'avons jamais semblé aussi perdus sur ce qui constitue réellement une vie bien vécue.
Commençons par regarder en face ce que notre société considère comme une vie réussie.
La recette est simple et universellement acceptée : accumule de l'argent, du pouvoir et de la notoriété.
Marie-toi. Fait des enfants. Coche les cases dans le bon ordre. Poste les photos au bon moment sur Instagram. Souris sur LinkedIn quand tu annonces ta promotion et ne parle pas des renoncements liés. Optimise ta vie comme on optimise un algorithme.
Bien sûr chacun d’entre vous se dira dans son for intérieur : « non mais je sais que ce n’est pas ça hein…, je ne suis pas stupide » mais essayez d’être sincère avec vous-même 2 minutes quand même et vous verrez que quand vous pensez à Brad Pitt ou Steve Jobs, vous pensez « succès ».
Peu importe que le 1er ait été un grand alcoolique et l’autre un monstre humain.
Pour écrire cette newsletter, je me suis beaucoup appuyé sur Arthur Brooks, un professeur à Harvard et spécialiste du bonheur.
Il identifie deux grandes catégories de chercheurs de bonheur contemporains qu'il appelle - par commodité mais de façon trompeuse (on va y revenir) - les "Épicuriens" et les "Stoïciens" modernes.
Les premiers recherchent instinctivement le bonheur dans le plaisir immédiat et la jouissance - quand ça va mal, ils augmentent leur niveau de plaisir (shopping thérapie, vacances de luxe, expériences toujours plus intenses…)
C’est ce que l’on fait quand on favorise son « bien vivre » à son « bien être » par exemple en vivant une vie à 4 000 km heure sans même avoir le temps de voir sa vie défiler sous ses yeux.
Les seconds se concentrent sur le sens et le but - face à l'adversité, ils cherchent la signification et la raison d'être. Développement personnel, quête spirituelle, engagement militant.
Chacun pense être libre mais la réalité pour la majorité d’entre-nous, c’est que nous sommes fortement conditionnés par nos peurs, notre éducation, notre contexte religieux, nos traumas transgénérationnels….je vous renvoie vers la newsletter sur le désir.
Ce que Brooks a découvert dans ses recherches, c'est qu'une vie épanouie nécessite un mélange judicieux des deux approches : le plaisir ET le sens. Mais ce mélange, les vrais philosophes antiques l'avaient déjà théorisé il y a plus de 2 000 ans - et de façon bien plus sophistiquée que nos tentatives modernes.
Je crois que dans cette période tumultueuse, c’est quand même pas mal de revenir à la philosophie.
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Sophie Kune est autrice, créatrice du compte et podcast Ménopause Stories, et elle vient de publier un livre qui redonne voix aux femmes en pleine transition hormonale.
Cet épisode est pour 100% de la population car je pense que c'est esssentiel que les hommes sachent aussi de quoi il en retourne.
Sophie, je la connais depuis 20 ans. On a commencé ensemble à l’époque des blogs – oui, cette époque où on partageait nos idées sans filtre sans business model, juste avec une envie sincère de transmettre.
Depuis, chacun a suivi son chemin, mais avec Sophie, il y a toujours eu cette relation, parfois plus distante bien sur mais toujours avec cette bienveillance et ce goût du vrai.
Dans cet épisode, j’avais envie de lui donner un espace entier pour parler d’un sujet qui reste encore largement tabou : la ménopause.
Un mot souvent associé à la vieillesse, au déclin, voire à une certaine forme d’invisibilité.
Et pourtant, c’est une étape physiologique incontournable pour toutes les femmes et donc 50% de la population, et surtout un moment de profonde transformation.
C'est la 2ème fois que j'en parle sur Vlan! et je suis vraiment ravi de vous proposer cet épisode.
On a parlé de pré-ménopause, de ménopause artificielle, d’histoire du mot, de patriarcat bien sûr, mais aussi de sexualité, de santé cardiovasculaire, d’intime, de souffrances invisibles et de réappropriation du corps.
Sophie n’est pas médecin, et c’est ce qui rend sa parole d’autant plus précieuse : elle transmet le vécu, l’émotion, les récits des femmes, avec justesse et humour. Elle a fait un travail d’utilité publique en rendant ce sujet accessible, humain et politique.
C’est un épisode profond, parfois drôle, souvent bouleversant, mais surtout essentiel. Car avant de changer le regard sur la ménopause, il faut commencer par écouter.
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Priya Parker, facilitatrice de conflits est coach très recherchée à New York, animatrice d’un podcast pour le New York Times, et autrice du best-seller The Art of Gathering, nous invite à repenser en profondeur la manière dont nous nous rassemblons.
D'autant que le livre est sorti en français cet été au moment ou nous avons enregistré.@
L'épisode est en anglais malheureusement pour ceux qui ne parlent pas suffisamment bien.
Dans cet épisode, nous parlons de quelque chose d’aussi fondamental qu’oublié : l’art de se retrouver. Pourquoi se marie-t-on ? Pourquoi organisons-nous un baby shower, un dîner, une réunion ? Et surtout : comment faire en sorte que ces moments comptent vraiment ?
Avec Priya, on explore les mille manières dont nos rassemblements peuvent (et doivent) être réinventés. Elle explique à quel point nos rencontres sociales, personnelles ou professionnelles sont souvent pilotées en pilote automatique, sans intention réelle. Pourtant, avec un peu de conscience et beaucoup de cœur, il est possible de transformer un simple dîner entre amis en moment inoubliable. Ce que j’ai adoré, c’est à quel point Priya replace le besoin collectif, la joie et le sens au centre de nos rassemblements.
J’ai questionné Priya sur les rituels, sur la polarisation de nos sociétés, sur l’illusion de la connexion numérique, et sur le rôle politique de nos manières de nous réunir. Car oui, se rassembler peut être un acte de résistance dans un monde optimisé, hyperconnecté mais souvent déshumanisé.
Son approche est à la fois intime et profondément transformatrice. Vous n’organiserez plus jamais une réunion ou une fête de la même manière.
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Mamari, humoriste, chroniqueuse et autrice, signe un spectacle qui bouscule, émeut et fait éclater de rire : Trop drôle pour mourir.
En tous cas, j'ai adoré allé la voir au théâtre! Et pour cette rentrée, je me suis que nous avons vraiment besoin de rire un peu parce que le moment est tellement grave.
Un épisode de rentrée pas vraiment léger mais léger quand même vous allez voir :)
Dans cet épisode nous avons abordé ensemble des sujets à la fois lourds et essentiels : l’hospitalisation psychiatrique, le génocide rwandais, l’inceste, les troubles alimentaires, la dépression... Mais toujours avec cette légèreté propre à Mamari, cette intelligence de la nuance et ce sens rare de l’autodérision.
Ce que j’ai trouvé fascinant dans notre échange, c’est à quel point Mamari incarne cette capacité de transformer la douleur en force, les blessures en moteur artistique. Elle ne cache rien : son passé, ses traumatismes, ses luttes quotidiennes, mais elle les offre au public, non pas dans une démarche de victimisation, mais avec une volonté profonde de partage, d’authenticité, et, surtout, de transmission.
Nous avons parlé de son parcours atypique, de son besoin viscéral d’être vraie, des injonctions familiales, de la place de la honte et du corps, de la puissance de l’humour pour déjouer les stigmates.
J’ai aussi questionné Mamari sur ses origines rwandaises, sur ce que signifie être l’enfant de survivants d’un génocide, et comment cela façonne une identité.
Mamari, c’est une voix qui compte, une artiste à suivre absolument. Cet épisode est à la fois dur et lumineux. Il fait réfléchir, il bouleverse, et il donne envie d’aimer plus fort, de rire plus sincèrement et d’écouter avec plus d’empathie.
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Durant l’été, je vous propose une sélection des meilleurs épisodes de Vlan sur la dernière saison. L’occasion de découvrir ou redécouvrir des épisodes qui ont énormément plu.
Mai Hua est la réalisatrice d'un documentaire sur des hommes remarquables comme son titre l'indique "meeting with remarkable men" qui a également un compte Instagram hyper intéressant.
Pour cet épisode 100 j'ai voulu recevoir Mai sur un sujet qui touche tout le monde et qui est tellement débattu: la relation hommes mais aussi la masculinité, la féminité ou encore le féminisme et enfin l'humanisme.
Si vous ne vous retrouvez jamais dans ces débats sur le genre parce que les propos sont trop souvent militants et peu nuancés ou inclusifs, cette conversation devrait vous réconcilier avec la question et vous permettre de vous poser sereinement les bonnes questions.
Remettre en cause le patriarcat, le questionner, ce n'est pas remettre en cause les hommes comme certains pourraient le laisser penser.
Etre féministe ce n'est pas remettre en cause les hommes non plus ni penser que "the future is female" - en tous cas, ce n'est pas ma manière de l'envisager. C'est remettre en cause une forme de masculinité, c'est remettre en cause certains hommes.
Cet un épisode exceptionnel à beaucoup de niveaux, c'est une étape pour moi d'abord évidemment mais il a aussi et vous allez vous en rendre compte une forme totalement novatrice que nous avons créé au studio avec Pierre Henri Samion et Antoine Bertin que je remercie mille fois.
C'est un épisode avec lequel je voulais remercier chacun.e d'entre vous de soutenir Vlan mais plus largement les podcasts et c'est la raison pour laquelle j'ai invité mes ami.e.s podcasteur.euse.s à venir sur cet épisode. Je remercie donc Pauline du podcast La Leçon, Clémentine du podcast Bliss, Matthieu du podcast Generation DIY, Lelée.o du podcast Voxxx, Margaux et Céline du podcast Entre nos lèvres et Angelo du podcast Balance ta peur. Pauline du Gratin et Valérie de Chiffons auraient aussi du être des nôtres et ont finalement été retenues mais tou.te.s ensemble nous voulions vous remercier.
C'est un épisode un peu particulier également par sa longueur et son ton ou encore sa méthode d'enregistrement mais j'espère que vous allez apprécier. Moi j'ai adoré l'enregistrer et l'écouter ensuite.
C'est typiquement du Vlan parce que ce n'est pas prise de tête, on se marre mais c'est toujours très pertinent.
Je suis tellement touché par les messages que je dois de temps en temps, par cette capacité que peut avoir ce podcast de vous accompagner dans vos réflexions. Merci encore du fond du coeur.
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